N° 14 EPR – Spin Up / Spin Down le : 25/02/ 2016

 

 

 

 

 

 

 

 

La Gazette

 

Des Mousquetaires de l’Ufo

 

 

EPR – spin up/spin down

 

 

Numéro 14 du jeudi 25 février 2016

Guy Coatanroch

 

 

1 – Mégalithes du Tumulus de Vratnika - ions négatifs et propriétés de Boules 

 

Copie de la page 22 de LDLN n° 425 (Pyramides de Bosnie)

 

@Guy Coatanroch : Michel, Sais-tu comment on mesure les ions positifs ou négatifs ?

 

@Michel Turco : Vaste sujet que celui-là ! En chimie, on a identifié au moins six sortes d’ionisations et près de sept systèmes de mesureurs détecteurs d’ions, matériels de labo.

Je pense que tu fais allusion aux ions atmosphériques provoqués par la pollution ou les générateurs d’ions comme par exemple les moteurs électriques, ne pas confondre avec la production d’ozone, et aussi a la radioactivité naturelle, et non aux ions en milieu liquide.

Une remarque :

 

Il y a les gros ions et les petits ions classés également suivant leur charge électrique. Et aussi, ils ont des durées de vie différentes.

 

Donc je pars sur le milieu gazeux. Il existe des appareils détecteurs compteurs d’ions atmosphériques pour grand public, assez chers !

 

Les principaux :

 

- le compteur type Geiger qui détecte les ions positifs naturels près de 80% des ions atmosphériques d’origine nucléaire,

 

- un détecteur basé sur la variation de capacité dans un condensateur à plaques (cylindre de Faraday). Il faut que l'air passe à une vitesse déterminée entre les deux plaques cylindriques concentriques. Le passage des ions modifie la capacité du condensateur qui est traduite en valeur électrique. Un comptage peut être établi à partir de la variation du potentiel entre les plaques. La différenciation positif / négatif, se fait tout simplement en inversant la polarité de la différence de potentiel. Les autres systèmes sont beaucoup trop complexes à expliquer dans ce courriel.

 

A cette adresse on trouve un appareil pour la détection des ions (+ - )
mais il n'est pas donné.

 

http://www.shop.etudesetvie.be/product.php?id_product=75

 

@Guy Coatanroch : Le dernier numéro de LDLN le n°425 propose un article sur le voyage de Patrice Marly dans la vallée de Visoko en Bosnie où il nous parle du Tumulus de Vratnika. Dans les souterrains et salles découverts il y aurait des mégalithes en céramiques artificielles qui auraient des propriétés agissant sur la santé qui transformeraient l'énergie négative en énergie positive. Voir l'extrait de page ci-joint. A l’intérieur de ces pierres mégalithes, il y aurait un noyau. Mon idée serait de pouvoir contrôler si les petites boules de Charles Provost et la mienne produiraient des "ions" et auraient par la même des vertus quelconques. Vous avez du savoir l'effet que "ma boule" a eue sur moi. Je pense qu'elle m'a été bénéfique, tout au moins, je le pense et n'en est pas sûr! Mais qui sait ? Avez vous une information à ce sujet ?

 

@Patrice Galacteros : C'est vrai que pour avoir eu une de ces boules entre mes doigts, le toucher fait penser à de la céramique.  Mais  une analyse physico-chimique  non destructive s’impose par un laboratoire qui ne saurait rien du contexte pour avoir une analyse naïve sans idée préconçue et de pouvoir récupérer la boule  sans problème.

 

@Charles Provost : A vos calculettes :

 

Je suis allé chez un ami bijoutier, peser 3  pierres. Je me suis servi d'une mesure d'un demi décilitre. La mesure pèse pleine à la marque, 74gr60.  J'ai pris 3 pierres différentes, une petite ronde une ronde plus grosse et une ovale. Je me mêle les pinceaux pour calculer le poids spécifique, je ne trouve jamais pareil, alors je vous laisse calculer.

 

1ere  pierre : Poids  26gr80

Poids eau restante 67gr40

Poids eau et pierre 94gr10

 

2ème pierre : Poids 51gr60

Poids eau restante 59gr60

Poids eau et pierre 111gr10

 

3ème pierre : Poids 54gr80

Poids eau restante 53gr20

Poids eau et pierre 108gr60

 

@Gérard Deforge : Je ne sais pas ce qu'en pense Jean-Claude. Pour la première mesure, il faut la refaire, car un écart de 10g, c'est trop. Pour les deux autres, cela donne des densités approximatives de l'ordre de 1, surtout pour la dernière, sauf erreur de ma part. Ce qui donne des densités voisines de celle de l'eau! Curieux pour des pierres! Qu'en penses-tu Jean-Claude ?

 

@Michel Turco :

 

1ère boule  d= 3.72
2ème boule d= 3.44

Pour la 3ème boule, il y a eu une perte d'eau: (53.2 mesuré alors qu'il aurait du avoir 53.8)
densité calculée 2.56 pour 2.63.

 

@Michel Turco :

 

1ère boule
Poids d'eau total  74,6 g
Poids d'eau restante 67,4 g
Poids eau + boule  94,1 g
Poids de la bille 26,8 g

Volume de la boule
74,6g - 67,4 g = 7,2 g soit 7.2 cm3  (1g d'eau = 1 cm3)

Densité = 26,8 / 7.2  = 3,72

2ème boule
Poids d'eau total  74,6 g
Poids d'eau restante 59,6 g
Poids eau + boule  111,1 g
Poids de la bille 51,6 g

Volume de la boule
74,6 g - 59,6 g = 15 g soit 15 cm3 

Densité = 51.6 / 15  = 3,44

3ème boule
Poids d'eau total  74,6 g
Poids d'eau restante 53,2 g
Poids eau + boule  108,6 g
Poids de la bille 54,8 g

Volume de la boule
74,6 g - 53,2 g = 21,4 g soit 21,4 cm3 

Densité = 54,8 / 21,4  = 2,56

Mais 108,6g - 54,8g = 53,8g (le poids d'eau restante qu'on devrait avoir et ce n'est pas le cas) donc il y a eu une petite perte d'eau de 0,6 g la densité serait de 2,63)

densité = 54,8 / 20,8 = 2,63

En fait, il y a une petite erreur de mesure (manipulation) à chaque fois, de l'ordre de 0,1 g mais ça ne change pas grand chose sur le résultat.

 

@Charles Provost : Merci  Michel, tu es le meilleur. Pour la 3eme pierre, il n'y a pas d'erreur. La densité est moins importante, c'est visible à l'œil nu en la comparant avec les autres. La pierre que j'avais coupé en deux semble poreuse à l'intérieur, celle-là est-elle de la même structure. Je vais la peser pour m'assurer de la densité. Poreuse, n'est pas le bon mot, elle n'absorbe pas l'eau. Encore merci.

 

@Michel Turco : Il n'y a rien d'extraordinaire, juste un petit service sans plus. Pour la pesée de la troisième pierre, le mieux est de la tremper dans de l'alcool, de l’égoutter avant de la peser dans l'eau. C'est comme çà qu'il faut opérer avec les matériaux présentant une micro porosité avant leur pesée dans l'eau.

 

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2 – Changement climatique – Il faut sauver la Planète

 

@Gérard Deforge :

 

1/- Pour ceux d'entre vous qui ont un abonnement même à minima au bouquet de Canal Satellite, chaque dimanche après-midi, en ce moment, la chaîne Discovery Science sort des documents inédits que lui a confiés la NASA. Cela n'est certainement pas sans arrière pensée, naturellement. Par exemple, aujourd'hui, j'ai regardé une séquence concernant un incident méconnu lorsque le télescope Hubble a été réparé de sa fameuse "myopie", par de courageux, voire téméraires astronautes. Or dans cette séquence, il est noté, images vidéo à l'appui, qu'un objet en forme de "ver", qui se dédoublait, avec une espèce de projecteur à lampe flash à une extrémité, se baladait et se tortillait dans l'espace, à proximité de la Station, et l'accompagnant dans sa trajectoire. Or c'est à ce moment qu'un des scaphandres des astronautes est devenu inutilisable pour cause de fuite, alors que l'astronaute en question allait s'extraire de la station, ce qui, dans cet état, aurait provoqué son décès ! Il semble bien que chaque dimanche, cette émission sort des documents inédits de ce type, afin de réellement nous informer que l'Espace visité par nos modernes explorateurs est moins tranquille que ce que nous imaginions à la faveur des reportages tronqués dont nous fûmes inondés.

 

2/- Changement climatique, nous dit-on. Je reviendrai sur cette question, avec un document à "décharge". En attendant, voici un document "à charge" : Ma belle fille accomplit de nombreux voyages en avion liés à son activité professionnelle. Elle me communique ses numéros de vol, et je suis un peu la trajectoire de son avion sur le site"flash radar". Le 31 janvier dernier, elle revenait ainsi d'un voyage en Inde. Sur le document joint, vous noterez le N° de son avion de retour, et vous noterez surtout combien le ciel de l'Europe est encombré (24h/24) d'une armada ininterrompue de jets (Voyez l'heure de la prise de vue, actualisée tous les quarts d'heure). Je pense que la pollution automobile, les autres pollutions existent, bien entendu, mais que de silence sur celle-là...et pourtant!

 

(A voir le document joint, qui est une simple "prise d'écran").

 

 

@Gérard Deforge : Voir ci-dessous, en deux volets. Un dossier très complet, dont je ne vous livre que la conclusion, elle-même très explicite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

@Patrice Galacteros : Merci Gérard pour ces munitions !

@Jean Pierre Neri 25200 Béthoncourt : Paranoïa sur les carburants fossiles

 

Sans pour autant défendre les chauffards qui manquent de vous foutre en l’air lorsque que vous empruntez un passage piéton pour traverser votre rue lorsque vous aller acheter votre pain quotidien chez l’ami nécessaire de quartier, votre boulanger, pour situer le degré de paranoïa des plus virulents détracteurs de véhicules à moteur diesel, il faut révéler les données de l’industrie maritime qui a démontré qu’en considérant la taille des moteurs de la qualité du carburant utilisé, les 15 plus gros navires cargos du monde polluent autant que l’ensemble des 760 millions d’automobilistes de la planète. En l’occurrence ces admirables transporteurs, portes conteneurs champions de la modernité technologique qui nous alimentent en produits que l’on fabriquait dans nos usines proches de notre lieu d’habitation et délocalisées aujourd’hui à Pétaouchnock, brûlent chacun 10.000 tonnes de carburant fossile pour un aller retour entre l’Asie et l’Europe. Ces malheureux 15 navires font partie d’une flottille de 3.500, auxquels il faut ajouter 17.500 tankers qui composent l’ensemble pétrolier des 100.000 unités navales qui sillonnent mers et océans. Pour ne pas quitter le domaine maritime, rappelons que la flotte française est d’environ 500.000 unités dont 5.000 yachts de plus de 60 mètres et que le plus moyen de ceux-ci brûlent environ 900 litres de fuel en une heure seulement, alors que les 24% de foyers français qui se chauffent au fioul, certes pollueurs aussi, ont du mal à remplir leur cuve pour l’hiver étant donné ce que cela leur coûte ! Pour continuer le chemin de cette schizophrénie paranoïaque, prenons en compte toute la flottille de pêche et les 4,7 millions de poids lourds en transit à travers l’Europe, les milliers d’aéronefs qui sillonnent le ciel, leur milliard de décollage et d’atterrissage sur les aéroports, dont la consommation par passager et par kilomètre parcouru est 3 fois plus nocive pour le climat avec ses « chemtrails », que l’automobile. Pour compléter cette petite rigolade, car ça, ça en est une, il ne faut pas oublier que l’indispensable outil du domaine agricole où la consommation moyenne d’énergie mécanique (y compris l’eau, en particulier l’arrosage du maïs) est de 101 litres de fuel à l’hectare et les sous produits polluants issus du cracking pétrolier dixit Fos sur Mer.

 

Mais pas d’affolement, on va sauver la planète en augmentant la taxe sur les carburants, ce qui affaiblira un peu plus notre industrie et notre pouvoir d’achat ; Bruxelles (pas le Parlement Européen dont les représentants élus, ces pauvres élus par les peuples, n’ont que pouvoir de consultation et non pas de décision par rapport aux financiers internationaux mis en place par les « Grossens Holding’s », sis en la capitale reine de la Sterling du Nord bien croustillée en la Frite une Fois…), les Ricains et les Chinetocs, sans compter les autres, n’en ont rien à faire. On alternera les numéro pairs et impair de nos véhicule afin d’entrer dans les villes pour aller y travailler, on sait que les ex-transports publics fonctionnent à merveille en considérant tous les aléas qu’ils comportent et on démontrera qu’un foyer ouvert à bois pollue plus qu’une chaudière fonctionnant au fuel, quand il existe des chaudières électrique à thermoplongeurs depuis belle Lurette. Mais de ceci, on ne nous en parle jamais ! Tiens, aussi, pourquoi pas, multiplications des véhicules électriques qui se rechargent proprement avec de l’énergie… issue du nucléaire. Mais oui, pour sûr, le nucléaire nécessaire ne pollue évidemment que moins, d’autant plus qu’en alternance batterie à plat, le moteur à carburant fossile prend le relais afin de pouvoir rouler…

 

 

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3 - Gaïa selon Ysaac Asimov – Cycle Fondation et Empire éditions de 1934 à 1992

 

« … l’atmosphère de la planète était nuageuse. La couverture n’était pas homogène, c’était plutôt un tapis discontinu, réparti toutefois avec une régularité remarquable qui ne permettait quasiment pas de distinguer la surface… il s’agissait, semblait-il d’une planète insulaire, un peu comme Terminus, mais de manière encore plus accusée. Aucune des îles n’était très étendue et aucune n’était très isolée comme pour les continents. C’était comme d’approcher un archipel à l’échelle planétaire. Pas plus que ces signes révélateurs d’une distribution irrégulière de la population comme on aurait du s’attendre à en découvrir… le temps était comparable à un début d’été, il y avait une légère brise et comme un soleil de fin de matinée qui filtrait à travers un ciel pommelé. Le sol sous les pieds était verdoyant et, dans une direction, on pouvait découvrir une rangée d’arbres trahissant la présence d’un verger tandis que dans la direction opposée on distinguait au loin un rivage. Il y avait en bruit de fond un bruissement d’insectes, sans doute au dessus, et sur le côté, l’éclair d’un oiseau, du moins d’une créature ailée et le clac clac d’un instrument agricole…

 

  • Et maintenant peut-on enfin nous conduire après de celui ou celle que vous appelez Gaïa ?

 

  • Je ne sais pas si vous allez me croire mais… Gaïa, c’est moi.

 

  • Vous ?

 

  • Oui. Moi. Et le sol. Et les arbres. Et ce lapin là bas, dans l’herbe. Et l’homme que vous apercevez à travers les arbres. Toute la planète et tout ce qu’elle abrite est Gaïa. Nous sommes tous des individus, des organismes séparés, mais nous partageons tous une même conscience globale. La planète inanimée y contribue pour la plus faible part, les différentes formes de vie à des degrés divers, et les êtres humains pour la plus grande proportion, mais nous la partageons tous.

 

  • Je crois que vous voulez dire que Gaïa est une sorte de conscience de groupe. Dans ce cas, qui dirige ce Monde ?

 

  • Il se dirige tout seul. Ces arbres poussent en rangs bien alignés sur leur propre initiative. Ils se multiplient juste assez pour assurer le renouvellement de ceux qui pour quelque raison meurent. Les êtres humains récoltent ce dont ils ont besoin et seulement ; les autres animaux, y compris les insectes mangent leur part, et seulement leur part… il pleut quand c’est nécessaire et il arrive même qu’il pleuve à verse quand une averse est nécessaire tout comme il peut avoir une période de sécheresse, si c’est la sécheresse qu’il faut…

 

  • Vous êtes en train de nous dire que votre planète est un super organisme et que vous êtes une cellule de ce super organisme…

 

  • J’établis une analogie, pas une identité. Nous sommes l’analogue des cellules mais nous ne sommes pas identiques ; vous comprenez ?... nous représentons le pluriel autant que le singulier, tout comme vous… êtres conscients de la Galaxie avec continuité 

 

  • … Il est vrai que ce que l’on connaît traite de nous êtres humains est fondé sur le postulat tacite que les être humains sont la seule et unique espèce intelligente de la Galaxie, et par conséquent les seuls organismes dont les actes contribuent de manière significative à l’évolution de la société et de l’histoire. Tel est le postulat tacite qu’il n’existe qu’une seule espèce intelligente dans la Galaxie et que c’est l’Homo Sapiens… la Galaxie n’est pas l’Univers. Il y a d’autres Galaxies… qu’aucun vaisseau humain n’a encore pénétré et elles se comptent par milliards… notre galaxie n’a vu se développer qu’une seule espèce d’intelligence suffisante pour bâtir une société technologique mais que savons nous des autres ? La notre pourrait bien être atypique. Dans certaines autres galaxies, peut-être même dans toutes, il se peut que rivalisent quantité d’espèces intelligentes, en lutte au coude à coude, chacune incompréhensible pour nous autres.

 

  • Pour autant que je sache, aucune espèce intelligente venue d’une autre galaxie ne vous a rendue visite… enfin nous n’en avons pas la preuve formelle… mais cet état de fait pourrait prendre fin un beau jour !

 

 

 

 

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4 - Notre Monde physique est-il réel ?

 

@Gérard Deforge : Je ne tiens pas à ce que notre thésard de Gilles et autres matheux de notre petite bande s'endorment ! Aussi je vous livre ce joli texte de très haut niveau, qui n'est évidemment pas de mon cru, non plus que j'en connaisse l'origine, mais qui m'a été aimablement transmis par une de mes correspondantes. Ce texte, pour oublier peut-être les affres d'une future digestion difficile. Quoique… heu… (Si certains sont au régime… ça peut aller ! GC).

 

Voici, et accrochez-vous!

 

« Cinq raisons scientifiques qui pourraient bien prouver que le monde dans lequel nous vivons n’est pas réel Et si le monde dans lequel vous vivez n’était pas réel ? Le domaine de la physique est rempli de paradoxes que les scientifiques n’arrivent pas à expliquer. C’est d’autant plus vrai lorsque l’on aborde la physique quantique, selon laquelle il serait possible que notre univers ne soit qu’une projection d’un autre. DGS vous révèle 5 points qui remettront en question votre vision de la réalité.

 

I. L’univers possède une vitesse maximale

 

Selon le réalisme physique : Albert Einstein a déduit que rien ne peut aller plus vite que la lumière se déplaçant dans le vide. Cela a toujours été considéré comme une constante universelle même si le pourquoi n’est pas très clair. Actuellement, la vitesse de la lumière est une constante parce que… c’est une constante et parce que la lumière n’est pas composée de choses simples. Répondre à la question « pourquoi les choses ne peuvent pas aller plus vite » par « parce que », n’est pas très satisfaisant. La lumière est moins rapide dans le verre ou dans l’eau mais lorsqu’elle se déplace dans le vide, il devient compliqué d’expliquer comment une onde peut vibrer dans rien. Il n’y a aucune base physique pour que la lumière puisse se déplacer dans le vide spatial.

 

Selon le réalisme quantique : si notre monde physique est en fait une réalité virtuelle, il est le produit d’un traitement d’informations. Ces informations sont définies comme un choix parmi un groupe fini, ce qui veut dire que le traitement qui les modifie est également limité. Effectivement, notre monde s’actualise selon un rythme défini. Le processeur d’un super ordinateur peut s’actualiser 10 millions de milliards de fois par seconde et notre univers le fait des milliards de fois plus rapidement mais le principe reste le même. Etant donné qu’une image sur un écran est composée de pixels et possède un rythme d’actualisation, notre monde possède une longueur de Planck et un temps de Planck. Dans ce scénario, la vitesse de la lumière est la plus rapide car le réseau ne peut pas transmettre quoi que ce soit plus vite qu’un pixel par cycle… par exemple.

 

II. Le temps est malléable

 

Selon le réalisme physique : dans le paradoxe des jumeaux d’Einstein, l’un des deux voyageant sur une fusée proche de la vitesse de la lumière revient une année plus tard et retrouve son frère âgé de 80 ans. Aucun des deux ne savait que leur temps de référence s’écoulait différemment mais la vie de l’un d’entre eux est presque terminée alors que l’autre vient de commencer. Cela semble impossible dans notre réalité objective mais le temps ralentit vraiment en ce qui concerne les particules dans les accélérateurs prévus à cet effet. Dans les années 1970, des scientifiques ont envoyé des montres atomiques dans des avions autour du monde pour prouver qu’elles affichaient l’heure plus lentement que celles qui restaient au sol. Mais comment le temps lui-même peut-il être modifié ?

 

Selon le réalisme quantique : une réalité virtuelle présuppose que le temps l’est aussi et qu’un cycle de traitement d’informations est représenté par une seconde (ou toute autre durée). Tous les passionnés de jeux vidéo savent que lorsque l’ordinateur est occupé, l’écran réagit plus lentement. De la même façon, le temps ralentit en fonction de la vitesse ou lorsque l’on se trouve près de corps très lourds (comme les trous noirs), suggérant que tout ceci est virtuel. Le jumeau sur la fusée n’a vieilli que d’un an car c’est tout ce que le système a pu traiter à cette vitesse.

 

III. L’espace se courbe

 

Selon la réalité physique : si l’on se réfère à la théorie de la relativité d’Einstein, le Soleil garde la Terre en orbite en courbant l’espace autour d’elle. Mais comment l’espace lui-même peut-il se courber ? Par définition, l’espace peut se courber seulement s’il existe dans un autre espace, ce qui est une régression infinie. Si la matière existe dans un espace vide, il est impossible pour ce vide de bouger (ou se courber).

 

Selon le réalisme quantique : un ordinateur oisif ne l’est jamais vraiment mais fait tourner un programme de « oisiveté », ce qui pourrait être la même chose pour notre univers. Dans l’effet Casimir, le vide exerce une pression comme celle de deux assiettes plates proches l’une de l’autre. La physique actuelle nous dit que des particules virtuelles apparaissent de nulle part pour créer cet effet mais en réalité quantique, le vide spatial est plein de traitements qui produisent le même effet. L’espace vu comme un réseau d’informations peut présenter un monde en 3 dimensions capable de se courber.

 

IV. L’univers contient de l’énergie sombre et de la matière noire

 

Selon le réalisme physique : la physique actuelle décrit la matière comme nous la voyons, mais l’univers possède également 5 fois plus de quelque chose, que l’on appelle matière noire. Il peut être assimilé à un halo autour d’un trou noir situé au centre de notre galaxie qui maintient nos étoiles ensemble de manière plus étroite que ce que le permet leur gravité. Cette matière est invisible à nos yeux et ce n’est pas non plus de l’antimatière puisqu’elle ne possède pas de signature de rayons gamma. Ce n’est pas non plus un trou noir étant donné qu’il n’y existe pas d’effet de lentille gravitationnelle. Pourtant, sans elle, les étoiles composant notre galaxie s’éloigneraient dans le chaos le plus total.

 

Aucune particule connue ne peut expliquer la présence de la matière noire. Des particules théoriques connues sous le nom de particules massives agissant faiblement ont été proposées, mais aucune n’a été réellement trouvée. De plus, 70 % de l’univers est composé d’énergie sombre et la physique ne peut pas l’expliquer non plus. Elle peut être comparée à une sorte de gravité négative, un effet qui se propage à travers l’espace qui repousse les choses et par conséquent participe à l’expansion de l’univers. Sa force n’a jamais réellement changé alors que quelque chose qui s’étend devrait logiquement s’affaiblir. Si cela était une propriété inhérente à l’espace, cela devrait augmenter au fur et à mesure que l’espace s’étend. Actuellement, personne ne sait vraiment ce que c’est.

 

Selon le réalisme quantique : si l’espace vide est représenté par une transmission d’informations « oisives », ce n’est pas rien, juste quelque chose qui dit que ce n’est rien. Et si cela s’étend, c’est que du nouvel espace est ajouté tout le temps. De nouveaux points de traitements, par définition, reçoivent mais ne renvoient rien pendant leur premier cycle. Ils absorbent mais n’émettent pas, exactement comme l’effet négatif que nous appelons l’énergie sombre. Si du nouvel espace est ajouté de manière constante, l’effet ne changera pas en fonction du temps, donc l’énergie sombre est créée par la création d’espace. Ce modèle attribue également de la matière sombre à la lumière en orbite autour d’un trou noir. Cela est représenté par un halo car la lumière trop proche d’un trou noir est attirée dedans et la lumière plus éloignée peut s’échapper de l’orbite. Le réalisme quantique stipule qu’aucune particule ne sera jamais trouvée pour expliquer la matière noire et l’énergie sombre.

 

V. Le phénomène d’intrication quantique existe

 

Selon le réalisme physique : si un atome de césium relâche 2 photons dans des directions opposées, la théorie quantique les « emmêle ». De cette manière, si l’un d’entre eux tournoie vers le haut, l’autre tournoiera vers le bas. Mais si l’un se déplace de manière aléatoire, comment l’autre fait exactement la même chose inversement, à n’importe quelle distance ? D’après Einstein, la découverte qui mesure l’intensité de tournoiement d’un photon et qui définit instantanément le tournoiement de l’autre n’importe où dans l’univers est une action étrange. Le test de ce phénomène a été réalisé à travers l’une des expériences les plus précautionneuses qui soient, considéré comme le test ultime de notre réalité. Encore une fois, la théorie quantique avait raison.