N° 14 EPR – Spin Up / Spin Down le : 25/02/ 2016

 

 

 

 

 

 

 

 

La Gazette

 

Des Mousquetaires de l’Ufo

 

 

EPR – spin up/spin down

 

 

Numéro 14 du jeudi 25 février 2016

Guy Coatanroch

 

 

1 – Mégalithes du Tumulus de Vratnika - ions négatifs et propriétés de Boules 

 

Copie de la page 22 de LDLN n° 425 (Pyramides de Bosnie)

 

@Guy Coatanroch : Michel, Sais-tu comment on mesure les ions positifs ou négatifs ?

 

@Michel Turco : Vaste sujet que celui-là ! En chimie, on a identifié au moins six sortes d’ionisations et près de sept systèmes de mesureurs détecteurs d’ions, matériels de labo.

Je pense que tu fais allusion aux ions atmosphériques provoqués par la pollution ou les générateurs d’ions comme par exemple les moteurs électriques, ne pas confondre avec la production d’ozone, et aussi a la radioactivité naturelle, et non aux ions en milieu liquide.

Une remarque :

 

Il y a les gros ions et les petits ions classés également suivant leur charge électrique. Et aussi, ils ont des durées de vie différentes.

 

Donc je pars sur le milieu gazeux. Il existe des appareils détecteurs compteurs d’ions atmosphériques pour grand public, assez chers !

 

Les principaux :

 

- le compteur type Geiger qui détecte les ions positifs naturels près de 80% des ions atmosphériques d’origine nucléaire,

 

- un détecteur basé sur la variation de capacité dans un condensateur à plaques (cylindre de Faraday). Il faut que l'air passe à une vitesse déterminée entre les deux plaques cylindriques concentriques. Le passage des ions modifie la capacité du condensateur qui est traduite en valeur électrique. Un comptage peut être établi à partir de la variation du potentiel entre les plaques. La différenciation positif / négatif, se fait tout simplement en inversant la polarité de la différence de potentiel. Les autres systèmes sont beaucoup trop complexes à expliquer dans ce courriel.

 

A cette adresse on trouve un appareil pour la détection des ions (+ - )
mais il n'est pas donné.

 

http://www.shop.etudesetvie.be/product.php?id_product=75

 

@Guy Coatanroch : Le dernier numéro de LDLN le n°425 propose un article sur le voyage de Patrice Marly dans la vallée de Visoko en Bosnie où il nous parle du Tumulus de Vratnika. Dans les souterrains et salles découverts il y aurait des mégalithes en céramiques artificielles qui auraient des propriétés agissant sur la santé qui transformeraient l'énergie négative en énergie positive. Voir l'extrait de page ci-joint. A l’intérieur de ces pierres mégalithes, il y aurait un noyau. Mon idée serait de pouvoir contrôler si les petites boules de Charles Provost et la mienne produiraient des "ions" et auraient par la même des vertus quelconques. Vous avez du savoir l'effet que "ma boule" a eue sur moi. Je pense qu'elle m'a été bénéfique, tout au moins, je le pense et n'en est pas sûr! Mais qui sait ? Avez vous une information à ce sujet ?

 

@Patrice Galacteros : C'est vrai que pour avoir eu une de ces boules entre mes doigts, le toucher fait penser à de la céramique.  Mais  une analyse physico-chimique  non destructive s’impose par un laboratoire qui ne saurait rien du contexte pour avoir une analyse naïve sans idée préconçue et de pouvoir récupérer la boule  sans problème.

 

@Charles Provost : A vos calculettes :

 

Je suis allé chez un ami bijoutier, peser 3  pierres. Je me suis servi d'une mesure d'un demi décilitre. La mesure pèse pleine à la marque, 74gr60.  J'ai pris 3 pierres différentes, une petite ronde une ronde plus grosse et une ovale. Je me mêle les pinceaux pour calculer le poids spécifique, je ne trouve jamais pareil, alors je vous laisse calculer.

 

1ere  pierre : Poids  26gr80

Poids eau restante 67gr40

Poids eau et pierre 94gr10

 

2ème pierre : Poids 51gr60

Poids eau restante 59gr60

Poids eau et pierre 111gr10

 

3ème pierre : Poids 54gr80

Poids eau restante 53gr20

Poids eau et pierre 108gr60

 

@Gérard Deforge : Je ne sais pas ce qu'en pense Jean-Claude. Pour la première mesure, il faut la refaire, car un écart de 10g, c'est trop. Pour les deux autres, cela donne des densités approximatives de l'ordre de 1, surtout pour la dernière, sauf erreur de ma part. Ce qui donne des densités voisines de celle de l'eau! Curieux pour des pierres! Qu'en penses-tu Jean-Claude ?

 

@Michel Turco :

 

1ère boule  d= 3.72
2ème boule d= 3.44

Pour la 3ème boule, il y a eu une perte d'eau: (53.2 mesuré alors qu'il aurait du avoir 53.8)
densité calculée 2.56 pour 2.63.

 

@Michel Turco :

 

1ère boule
Poids d'eau total  74,6 g
Poids d'eau restante 67,4 g
Poids eau + boule  94,1 g
Poids de la bille 26,8 g

Volume de la boule
74,6g - 67,4 g = 7,2 g soit 7.2 cm3  (1g d'eau = 1 cm3)

Densité = 26,8 / 7.2  = 3,72

2ème boule
Poids d'eau total  74,6 g
Poids d'eau restante 59,6 g
Poids eau + boule  111,1 g
Poids de la bille 51,6 g

Volume de la boule
74,6 g - 59,6 g = 15 g soit 15 cm3 

Densité = 51.6 / 15  = 3,44

3ème boule
Poids d'eau total  74,6 g
Poids d'eau restante 53,2 g
Poids eau + boule  108,6 g
Poids de la bille 54,8 g

Volume de la boule
74,6 g - 53,2 g = 21,4 g soit 21,4 cm3 

Densité = 54,8 / 21,4  = 2,56

Mais 108,6g - 54,8g = 53,8g (le poids d'eau restante qu'on devrait avoir et ce n'est pas le cas) donc il y a eu une petite perte d'eau de 0,6 g la densité serait de 2,63)

densité = 54,8 / 20,8 = 2,63

En fait, il y a une petite erreur de mesure (manipulation) à chaque fois, de l'ordre de 0,1 g mais ça ne change pas grand chose sur le résultat.

 

@Charles Provost : Merci  Michel, tu es le meilleur. Pour la 3eme pierre, il n'y a pas d'erreur. La densité est moins importante, c'est visible à l'œil nu en la comparant avec les autres. La pierre que j'avais coupé en deux semble poreuse à l'intérieur, celle-là est-elle de la même structure. Je vais la peser pour m'assurer de la densité. Poreuse, n'est pas le bon mot, elle n'absorbe pas l'eau. Encore merci.

 

@Michel Turco : Il n'y a rien d'extraordinaire, juste un petit service sans plus. Pour la pesée de la troisième pierre, le mieux est de la tremper dans de l'alcool, de l’égoutter avant de la peser dans l'eau. C'est comme çà qu'il faut opérer avec les matériaux présentant une micro porosité avant leur pesée dans l'eau.

 

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2 – Changement climatique – Il faut sauver la Planète

 

@Gérard Deforge :

 

1/- Pour ceux d'entre vous qui ont un abonnement même à minima au bouquet de Canal Satellite, chaque dimanche après-midi, en ce moment, la chaîne Discovery Science sort des documents inédits que lui a confiés la NASA. Cela n'est certainement pas sans arrière pensée, naturellement. Par exemple, aujourd'hui, j'ai regardé une séquence concernant un incident méconnu lorsque le télescope Hubble a été réparé de sa fameuse "myopie", par de courageux, voire téméraires astronautes. Or dans cette séquence, il est noté, images vidéo à l'appui, qu'un objet en forme de "ver", qui se dédoublait, avec une espèce de projecteur à lampe flash à une extrémité, se baladait et se tortillait dans l'espace, à proximité de la Station, et l'accompagnant dans sa trajectoire. Or c'est à ce moment qu'un des scaphandres des astronautes est devenu inutilisable pour cause de fuite, alors que l'astronaute en question allait s'extraire de la station, ce qui, dans cet état, aurait provoqué son décès ! Il semble bien que chaque dimanche, cette émission sort des documents inédits de ce type, afin de réellement nous informer que l'Espace visité par nos modernes explorateurs est moins tranquille que ce que nous imaginions à la faveur des reportages tronqués dont nous fûmes inondés.

 

2/- Changement climatique, nous dit-on. Je reviendrai sur cette question, avec un document à "décharge". En attendant, voici un document "à charge" : Ma belle fille accomplit de nombreux voyages en avion liés à son activité professionnelle. Elle me communique ses numéros de vol, et je suis un peu la trajectoire de son avion sur le site"flash radar". Le 31 janvier dernier, elle revenait ainsi d'un voyage en Inde. Sur le document joint, vous noterez le N° de son avion de retour, et vous noterez surtout combien le ciel de l'Europe est encombré (24h/24) d'une armada ininterrompue de jets (Voyez l'heure de la prise de vue, actualisée tous les quarts d'heure). Je pense que la pollution automobile, les autres pollutions existent, bien entendu, mais que de silence sur celle-là...et pourtant!

 

(A voir le document joint, qui est une simple "prise d'écran").

 

 

@Gérard Deforge : Voir ci-dessous, en deux volets. Un dossier très complet, dont je ne vous livre que la conclusion, elle-même très explicite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

@Patrice Galacteros : Merci Gérard pour ces munitions !

@Jean Pierre Neri 25200 Béthoncourt : Paranoïa sur les carburants fossiles

 

Sans pour autant défendre les chauffards qui manquent de vous foutre en l’air lorsque que vous empruntez un passage piéton pour traverser votre rue lorsque vous aller acheter votre pain quotidien chez l’ami nécessaire de quartier, votre boulanger, pour situer le degré de paranoïa des plus virulents détracteurs de véhicules à moteur diesel, il faut révéler les données de l’industrie maritime qui a démontré qu’en considérant la taille des moteurs de la qualité du carburant utilisé, les 15 plus gros navires cargos du monde polluent autant que l’ensemble des 760 millions d’automobilistes de la planète. En l’occurrence ces admirables transporteurs, portes conteneurs champions de la modernité technologique qui nous alimentent en produits que l’on fabriquait dans nos usines proches de notre lieu d’habitation et délocalisées aujourd’hui à Pétaouchnock, brûlent chacun 10.000 tonnes de carburant fossile pour un aller retour entre l’Asie et l’Europe. Ces malheureux 15 navires font partie d’une flottille de 3.500, auxquels il faut ajouter 17.500 tankers qui composent l’ensemble pétrolier des 100.000 unités navales qui sillonnent mers et océans. Pour ne pas quitter le domaine maritime, rappelons que la flotte française est d’environ 500.000 unités dont 5.000 yachts de plus de 60 mètres et que le plus moyen de ceux-ci brûlent environ 900 litres de fuel en une heure seulement, alors que les 24% de foyers français qui se chauffent au fioul, certes pollueurs aussi, ont du mal à remplir leur cuve pour l’hiver étant donné ce que cela leur coûte ! Pour continuer le chemin de cette schizophrénie paranoïaque, prenons en compte toute la flottille de pêche et les 4,7 millions de poids lourds en transit à travers l’Europe, les milliers d’aéronefs qui sillonnent le ciel, leur milliard de décollage et d’atterrissage sur les aéroports, dont la consommation par passager et par kilomètre parcouru est 3 fois plus nocive pour le climat avec ses « chemtrails », que l’automobile. Pour compléter cette petite rigolade, car ça, ça en est une, il ne faut pas oublier que l’indispensable outil du domaine agricole où la consommation moyenne d’énergie mécanique (y compris l’eau, en particulier l’arrosage du maïs) est de 101 litres de fuel à l’hectare et les sous produits polluants issus du cracking pétrolier dixit Fos sur Mer.

 

Mais pas d’affolement, on va sauver la planète en augmentant la taxe sur les carburants, ce qui affaiblira un peu plus notre industrie et notre pouvoir d’achat ; Bruxelles (pas le Parlement Européen dont les représentants élus, ces pauvres élus par les peuples, n’ont que pouvoir de consultation et non pas de décision par rapport aux financiers internationaux mis en place par les « Grossens Holding’s », sis en la capitale reine de la Sterling du Nord bien croustillée en la Frite une Fois…), les Ricains et les Chinetocs, sans compter les autres, n’en ont rien à faire. On alternera les numéro pairs et impair de nos véhicule afin d’entrer dans les villes pour aller y travailler, on sait que les ex-transports publics fonctionnent à merveille en considérant tous les aléas qu’ils comportent et on démontrera qu’un foyer ouvert à bois pollue plus qu’une chaudière fonctionnant au fuel, quand il existe des chaudières électrique à thermoplongeurs depuis belle Lurette. Mais de ceci, on ne nous en parle jamais ! Tiens, aussi, pourquoi pas, multiplications des véhicules électriques qui se rechargent proprement avec de l’énergie… issue du nucléaire. Mais oui, pour sûr, le nucléaire nécessaire ne pollue évidemment que moins, d’autant plus qu’en alternance batterie à plat, le moteur à carburant fossile prend le relais afin de pouvoir rouler…

 

 

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3 - Gaïa selon Ysaac Asimov – Cycle Fondation et Empire éditions de 1934 à 1992

 

« … l’atmosphère de la planète était nuageuse. La couverture n’était pas homogène, c’était plutôt un tapis discontinu, réparti toutefois avec une régularité remarquable qui ne permettait quasiment pas de distinguer la surface… il s’agissait, semblait-il d’une planète insulaire, un peu comme Terminus, mais de manière encore plus accusée. Aucune des îles n’était très étendue et aucune n’était très isolée comme pour les continents. C’était comme d’approcher un archipel à l’échelle planétaire. Pas plus que ces signes révélateurs d’une distribution irrégulière de la population comme on aurait du s’attendre à en découvrir… le temps était comparable à un début d’été, il y avait une légère brise et comme un soleil de fin de matinée qui filtrait à travers un ciel pommelé. Le sol sous les pieds était verdoyant et, dans une direction, on pouvait découvrir une rangée d’arbres trahissant la présence d’un verger tandis que dans la direction opposée on distinguait au loin un rivage. Il y avait en bruit de fond un bruissement d’insectes, sans doute au dessus, et sur le côté, l’éclair d’un oiseau, du moins d’une créature ailée et le clac clac d’un instrument agricole…

 

  • Et maintenant peut-on enfin nous conduire après de celui ou celle que vous appelez Gaïa ?

 

  • Je ne sais pas si vous allez me croire mais… Gaïa, c’est moi.

 

  • Vous ?

 

  • Oui. Moi. Et le sol. Et les arbres. Et ce lapin là bas, dans l’herbe. Et l’homme que vous apercevez à travers les arbres. Toute la planète et tout ce qu’elle abrite est Gaïa. Nous sommes tous des individus, des organismes séparés, mais nous partageons tous une même conscience globale. La planète inanimée y contribue pour la plus faible part, les différentes formes de vie à des degrés divers, et les êtres humains pour la plus grande proportion, mais nous la partageons tous.

 

  • Je crois que vous voulez dire que Gaïa est une sorte de conscience de groupe. Dans ce cas, qui dirige ce Monde ?

 

  • Il se dirige tout seul. Ces arbres poussent en rangs bien alignés sur leur propre initiative. Ils se multiplient juste assez pour assurer le renouvellement de ceux qui pour quelque raison meurent. Les êtres humains récoltent ce dont ils ont besoin et seulement ; les autres animaux, y compris les insectes mangent leur part, et seulement leur part… il pleut quand c’est nécessaire et il arrive même qu’il pleuve à verse quand une averse est nécessaire tout comme il peut avoir une période de sécheresse, si c’est la sécheresse qu’il faut…

 

  • Vous êtes en train de nous dire que votre planète est un super organisme et que vous êtes une cellule de ce super organisme…

 

  • J’établis une analogie, pas une identité. Nous sommes l’analogue des cellules mais nous ne sommes pas identiques ; vous comprenez ?... nous représentons le pluriel autant que le singulier, tout comme vous… êtres conscients de la Galaxie avec continuité 

 

  • … Il est vrai que ce que l’on connaît traite de nous êtres humains est fondé sur le postulat tacite que les être humains sont la seule et unique espèce intelligente de la Galaxie, et par conséquent les seuls organismes dont les actes contribuent de manière significative à l’évolution de la société et de l’histoire. Tel est le postulat tacite qu’il n’existe qu’une seule espèce intelligente dans la Galaxie et que c’est l’Homo Sapiens… la Galaxie n’est pas l’Univers. Il y a d’autres Galaxies… qu’aucun vaisseau humain n’a encore pénétré et elles se comptent par milliards… notre galaxie n’a vu se développer qu’une seule espèce d’intelligence suffisante pour bâtir une société technologique mais que savons nous des autres ? La notre pourrait bien être atypique. Dans certaines autres galaxies, peut-être même dans toutes, il se peut que rivalisent quantité d’espèces intelligentes, en lutte au coude à coude, chacune incompréhensible pour nous autres.

 

  • Pour autant que je sache, aucune espèce intelligente venue d’une autre galaxie ne vous a rendue visite… enfin nous n’en avons pas la preuve formelle… mais cet état de fait pourrait prendre fin un beau jour !

 

 

 

 

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4 - Notre Monde physique est-il réel ?

 

@Gérard Deforge : Je ne tiens pas à ce que notre thésard de Gilles et autres matheux de notre petite bande s'endorment ! Aussi je vous livre ce joli texte de très haut niveau, qui n'est évidemment pas de mon cru, non plus que j'en connaisse l'origine, mais qui m'a été aimablement transmis par une de mes correspondantes. Ce texte, pour oublier peut-être les affres d'une future digestion difficile. Quoique… heu… (Si certains sont au régime… ça peut aller ! GC).

 

Voici, et accrochez-vous!

 

« Cinq raisons scientifiques qui pourraient bien prouver que le monde dans lequel nous vivons n’est pas réel Et si le monde dans lequel vous vivez n’était pas réel ? Le domaine de la physique est rempli de paradoxes que les scientifiques n’arrivent pas à expliquer. C’est d’autant plus vrai lorsque l’on aborde la physique quantique, selon laquelle il serait possible que notre univers ne soit qu’une projection d’un autre. DGS vous révèle 5 points qui remettront en question votre vision de la réalité.

 

I. L’univers possède une vitesse maximale

 

Selon le réalisme physique : Albert Einstein a déduit que rien ne peut aller plus vite que la lumière se déplaçant dans le vide. Cela a toujours été considéré comme une constante universelle même si le pourquoi n’est pas très clair. Actuellement, la vitesse de la lumière est une constante parce que… c’est une constante et parce que la lumière n’est pas composée de choses simples. Répondre à la question « pourquoi les choses ne peuvent pas aller plus vite » par « parce que », n’est pas très satisfaisant. La lumière est moins rapide dans le verre ou dans l’eau mais lorsqu’elle se déplace dans le vide, il devient compliqué d’expliquer comment une onde peut vibrer dans rien. Il n’y a aucune base physique pour que la lumière puisse se déplacer dans le vide spatial.

 

Selon le réalisme quantique : si notre monde physique est en fait une réalité virtuelle, il est le produit d’un traitement d’informations. Ces informations sont définies comme un choix parmi un groupe fini, ce qui veut dire que le traitement qui les modifie est également limité. Effectivement, notre monde s’actualise selon un rythme défini. Le processeur d’un super ordinateur peut s’actualiser 10 millions de milliards de fois par seconde et notre univers le fait des milliards de fois plus rapidement mais le principe reste le même. Etant donné qu’une image sur un écran est composée de pixels et possède un rythme d’actualisation, notre monde possède une longueur de Planck et un temps de Planck. Dans ce scénario, la vitesse de la lumière est la plus rapide car le réseau ne peut pas transmettre quoi que ce soit plus vite qu’un pixel par cycle… par exemple.

 

II. Le temps est malléable

 

Selon le réalisme physique : dans le paradoxe des jumeaux d’Einstein, l’un des deux voyageant sur une fusée proche de la vitesse de la lumière revient une année plus tard et retrouve son frère âgé de 80 ans. Aucun des deux ne savait que leur temps de référence s’écoulait différemment mais la vie de l’un d’entre eux est presque terminée alors que l’autre vient de commencer. Cela semble impossible dans notre réalité objective mais le temps ralentit vraiment en ce qui concerne les particules dans les accélérateurs prévus à cet effet. Dans les années 1970, des scientifiques ont envoyé des montres atomiques dans des avions autour du monde pour prouver qu’elles affichaient l’heure plus lentement que celles qui restaient au sol. Mais comment le temps lui-même peut-il être modifié ?

 

Selon le réalisme quantique : une réalité virtuelle présuppose que le temps l’est aussi et qu’un cycle de traitement d’informations est représenté par une seconde (ou toute autre durée). Tous les passionnés de jeux vidéo savent que lorsque l’ordinateur est occupé, l’écran réagit plus lentement. De la même façon, le temps ralentit en fonction de la vitesse ou lorsque l’on se trouve près de corps très lourds (comme les trous noirs), suggérant que tout ceci est virtuel. Le jumeau sur la fusée n’a vieilli que d’un an car c’est tout ce que le système a pu traiter à cette vitesse.

 

III. L’espace se courbe

 

Selon la réalité physique : si l’on se réfère à la théorie de la relativité d’Einstein, le Soleil garde la Terre en orbite en courbant l’espace autour d’elle. Mais comment l’espace lui-même peut-il se courber ? Par définition, l’espace peut se courber seulement s’il existe dans un autre espace, ce qui est une régression infinie. Si la matière existe dans un espace vide, il est impossible pour ce vide de bouger (ou se courber).

 

Selon le réalisme quantique : un ordinateur oisif ne l’est jamais vraiment mais fait tourner un programme de « oisiveté », ce qui pourrait être la même chose pour notre univers. Dans l’effet Casimir, le vide exerce une pression comme celle de deux assiettes plates proches l’une de l’autre. La physique actuelle nous dit que des particules virtuelles apparaissent de nulle part pour créer cet effet mais en réalité quantique, le vide spatial est plein de traitements qui produisent le même effet. L’espace vu comme un réseau d’informations peut présenter un monde en 3 dimensions capable de se courber.

 

IV. L’univers contient de l’énergie sombre et de la matière noire

 

Selon le réalisme physique : la physique actuelle décrit la matière comme nous la voyons, mais l’univers possède également 5 fois plus de quelque chose, que l’on appelle matière noire. Il peut être assimilé à un halo autour d’un trou noir situé au centre de notre galaxie qui maintient nos étoiles ensemble de manière plus étroite que ce que le permet leur gravité. Cette matière est invisible à nos yeux et ce n’est pas non plus de l’antimatière puisqu’elle ne possède pas de signature de rayons gamma. Ce n’est pas non plus un trou noir étant donné qu’il n’y existe pas d’effet de lentille gravitationnelle. Pourtant, sans elle, les étoiles composant notre galaxie s’éloigneraient dans le chaos le plus total.

 

Aucune particule connue ne peut expliquer la présence de la matière noire. Des particules théoriques connues sous le nom de particules massives agissant faiblement ont été proposées, mais aucune n’a été réellement trouvée. De plus, 70 % de l’univers est composé d’énergie sombre et la physique ne peut pas l’expliquer non plus. Elle peut être comparée à une sorte de gravité négative, un effet qui se propage à travers l’espace qui repousse les choses et par conséquent participe à l’expansion de l’univers. Sa force n’a jamais réellement changé alors que quelque chose qui s’étend devrait logiquement s’affaiblir. Si cela était une propriété inhérente à l’espace, cela devrait augmenter au fur et à mesure que l’espace s’étend. Actuellement, personne ne sait vraiment ce que c’est.

 

Selon le réalisme quantique : si l’espace vide est représenté par une transmission d’informations « oisives », ce n’est pas rien, juste quelque chose qui dit que ce n’est rien. Et si cela s’étend, c’est que du nouvel espace est ajouté tout le temps. De nouveaux points de traitements, par définition, reçoivent mais ne renvoient rien pendant leur premier cycle. Ils absorbent mais n’émettent pas, exactement comme l’effet négatif que nous appelons l’énergie sombre. Si du nouvel espace est ajouté de manière constante, l’effet ne changera pas en fonction du temps, donc l’énergie sombre est créée par la création d’espace. Ce modèle attribue également de la matière sombre à la lumière en orbite autour d’un trou noir. Cela est représenté par un halo car la lumière trop proche d’un trou noir est attirée dedans et la lumière plus éloignée peut s’échapper de l’orbite. Le réalisme quantique stipule qu’aucune particule ne sera jamais trouvée pour expliquer la matière noire et l’énergie sombre.

 

V. Le phénomène d’intrication quantique existe

 

Selon le réalisme physique : si un atome de césium relâche 2 photons dans des directions opposées, la théorie quantique les « emmêle ». De cette manière, si l’un d’entre eux tournoie vers le haut, l’autre tournoiera vers le bas. Mais si l’un se déplace de manière aléatoire, comment l’autre fait exactement la même chose inversement, à n’importe quelle distance ? D’après Einstein, la découverte qui mesure l’intensité de tournoiement d’un photon et qui définit instantanément le tournoiement de l’autre n’importe où dans l’univers est une action étrange. Le test de ce phénomène a été réalisé à travers l’une des expériences les plus précautionneuses qui soient, considéré comme le test ultime de notre réalité. Encore une fois, la théorie quantique avait raison.

 

 

Observer un photon emmêlé causait le même mouvement de tournoiement au photon opposé, même s’il était trop loin pour qu’un signal se déplaçant à la vitesse de la lumière puisse les connecter. La Nature pourrait conserver ce mouvement en créant un photon vers le haut et un vers le bas dès le début mais c’est apparemment trop compliqué. Elle laisse donc les photons tourner à leur façon, selon leur direction aléatoire et lorsque l’un est mesuré, cela rend l’autre automatiquement opposé, même si c’est impossible physiquement parlant.

 

Selon le réalisme quantique : deux photons s’emmêlent lorsque leurs programmes respectifs fusionnent pour se rendre vers deux points conjointement. Si l’un des programmes tourne vers le haut et l’autre vers le bas, leur fusion déplace deux pixels, peu importe où ils se trouvent. Cette réallocation de code ignore la distance puisque le processeur n’a pas besoin d’aller sur le pixel pour le modifier, même pour un écran aussi grand que notre univers. Le modèle standard de physique implique 61 particules fondamentales avec une masse et une charge bien définies. Si tout cela était une machine, quelqu’un devrait définir à la main deux douzaines de boutons juste pour l’allumer. Elle nécessiterait également 5 champs invisibles pour faire apparaître 14 particules virtuelles avec 16 charges différentes pour fonctionner. Même après tout cela, le modèle standard ne peut pas expliquer la gravité, la stabilité des protons, l’antimatière, les quarks, la masse des neutrinos ou encore les problèmes liés au caractère aléatoire de la physique quantique. Aucune particule ne peut expliquer l’énergie sombre ou la matière noire qui compose la plupart de notre univers.

 

Ces réflexions nous ont mis le cerveau en ébullition ! Ces théories scientifiques suggèrent donc qu’il est tout à fait possible que vous soyez actuellement en train de vivre dans un monde virtuel. Certains trouvent ça fascinant tandis que d’autres sont plutôt effrayés par une telle hypothèse. Le mieux est encore de regarder la trilogie Matrix pour digérer tout ça : Pensez-vous qu’un jour, les scientifiques pourront percer tous les mystères de notre univers ? »

 

Nous contenons en nous-même toutes les informations de l’Univers

 

« La compréhension des propriétés de résonance mise en évidence par la physique quantique est fondamentale pour bien comprendre l’action de l’information. L’information est dans le vide quantique et non dans la matière.

 

L’homéopathie est un très bon exemple de thérapie quantique travaillant sur l’information venant d’une molécule ou d’une cellule qu’on appelle signal vibratoire moléculaire. L’univers visible ne représente qu’une infime partie des forces qui agissent dans le cosmos. A l’échelle de l’infiniment petit, la matière devient une double réalité, solide et vide en même temps. Ce vide énergétique laisse place à l’information, à un vide tellement existant. La physique quantique nous emmène dans un champ d’information qui nous renseigne autant sur ce que sont les choses, sur ce que nous sommes mais aussi sur ce que nous pouvons être. L’information focalise l’énergie et cette énergie, porteuse d’informations, façonne et anime la matière vers un projet intelligent.

Le vide est toujours plein, rempli de champs énergétiques qui naissent et meurent continuellement. Si les atomes de votre ordinateur pouvaient être rassemblés sans espace entre eux, ils occuperaient 2 mm² dans un coin de votre écran et si nous descendions encore dans l’échelle de l’infiniment petit, ces 2 mm² deviendraient des particules élémentaires insaisissables, des poussières d’atomes laissant place au vide, au vide quantique. Cela donne le vertige mais donne une idée de l’énergie qui nous entoure.

 

Tout est vibratoire, le corps humain, chacune de nos cellules, chaque atome est en interaction, en résonance avec ce champ quantique échangeant en permanence des informations.

 

Nous sommes autant dans ce champ unifié que ce champ est en nous. Vu autrement, nous contenons en nous même toutes les informations de l’Univers et ce fondement ne relève pas de l’ésotérisme mais bien de la physique. Le vide contient l’information de tout l’Univers. Il est l’intelligence organisatrice de la vie et de la structuration de la matière. Les scientifiques et les spiritualistes ouvrent aujourd’hui la même porte, nous apportant des perspectives déconcertantes et fascinantes sur la conception originelle. »

 

«Les choses visibles sont faites de choses invisibles et pourtant bien réelles.»

Albert Einstein


@Jean Claude Venturini : En tant que matheux il y a longtemps que je me pose ce genre de question : Le REEL ? 

 

@Gilles Lorant : Ouh là là, de quoi sortir de la torpeur épicurienne de fin/début d’année.

 

En ce qui me concerne, je regarderais cela en rentrant, mais peux déjà répondre de manière générale : « qu’on me dise ce qu’est le réel dans l’absolu et je pourrais peut-être dire si le monde que perçoivent mes sens l’est. » Petite remarque : les physiciens avouent ne faire pour l’instant que des suppositions sur la « vraie » nature du réel, de quoi me laisser du TEMPS. 

 

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5 - Il faudrait tout lire

 

@Gérard Deforge : Myriame, je te remercie tardivement pour cette exceptionnelle transmission, vraiment passionnante. (Voir La gazette n° 13 – Docteur Georges Chapman – Ca vient de sortir. GC).

 

Voici ci-joint une autre étrangeté: La caméra de Rosetta a filmé le 8 août 2014 la progression dans tout son champ de vision d'un objet improbable, circulant au-dessus de la comète,  de gauche à droite de l'écran, et visible pendant deux minutes et 10 secondes. J'ai fait une prise d'écran.

 

 

Et en feuilletant un LDLN, le N°422 de Mars/Avril2015, je suis tombé, au sens littéral du terme, sur un article que j'avais lu trop vite. J'en ai extrait les lignes et photos les plus parlantes. L'article est signé du directeur de la revue, pour lequel nous avons beaucoup de respect, et je suis resté coi en lisant la fin, comme vous le serez vous-même, si vous ne connaissez pas cette relation.

 

 

 

 

@Guy Coatanroch : Oui. Je l'avais vu et lu ;  et j'ai lu aussi : "Y aura t-il une suite " ? Comme celle de "nos boules ", mais que faire ?

 

@Gérard Deforge : Que faire....? C'est une excellente question, et tout le monde sauterait de joie si j'annonçais que j'ai une réponse fiable à cette question. Mais il n'en est pas question, justement, de réponse! De plus, cher Guy, regarde bien cet article publié ce jour dans le Parisien et son homologue, "Aujourd'hui en France". Ca s'appelle "en remettre une couche" !

 

 

@Michel Turco : Pour mémoire, voici une autre affaire de  tubes métalliques retrouvés sur un lieu d'atterrissage d'ovni. Citons exactement l’article de Ribera dans la revue Phénomènes Spatiaux de décembre 1969 (Ribera 3) : « Il apparaît qu’à l’endroit de l’atterrissage furent découverts de mystérieux tubes métalliques. Ils avaient moins de 15 cm de long et provenaient, semble-t-il, de l’engin. »

 

 

Tube métallique de Santa Mónica


Quelques jours après l’atterrissage, señor Muñoz et un certain nombre d’hommes d’affaires de la région reçurent une circulaire signée par un nommé "Henri Dagousset" où l’on pouvait lire qu’ayant appris par la presse espagnole qu’un ovni avait atterri à Santa Mónica et que cet ovni ou soucoupe volante avait laissé tomber des tubes métalliques, lui, ledit Henri Dagousset, éprouvant un intérêt scientifique pour ces tubes, offrait au nom du groupe qu’il représentait 18.000 pesetas pour chaque tube envoyé à son secrétaire, M. Antoine Nancay.

Plusieurs petits tubes métalliques furent bien retrouvés par des habitants du lieu, et Farriols put en faire analyser un exemplaire par un laboratoire compétent dont il connaissait le directeur. On découvrit que le métal était du nickel à 99 %, avec des traces de magnésium, de fer, de titane, de cobalt, de silicium et d'aluminium. Un matériau cher à fabriquer, mais pas extraordinaire. Dans le tube se trouvait une petite bande de plastique , frappée du sigle Ummo, qui était du tedlar, un polyvinyle fluoré, plastique très résistant aux intempéries utilisé par la NASA pour protéger les fusées sur les plates-formes de lancement ! (Ribera, Farriols 1, pp. 197 à 206).

 

@Gilles Lorant : Moi qui ne suis pas abonné à LDLN. Alors, oui, il faut tout lire.

 

La partie surlignée ne m’étonne pas ; ce n’est pas par hasard que je sois, comme de plus en plus de gens, très intrigué par la nature du temps et le changement d’échelles, en fait le couplage infiniment grand / infiniment  petit ! Je ne t’ai toujours pas expliqué, je pensais le faire lors du dernier repas de Cergy, mais j’ai oublié, mes dernières conclusions au travers d’un schéma simple montrant la nature du temps physique et la relativité de son écoulement par tranches d’espace, relation parfaitement validée par la compréhension qu’en ont les physiciens.

 

Cette vision, non décrite dans ce mail, découle évidement de la relativité (restreinte) mais apporte un petit plus : elle peut s’intégrer aux raisonnements quantiques. Ce qui n’est guère le cas avec la Relativité Générale qui fait intervenir les masses. Il ressort de ce constat que les masses créent un brouillard artificiel dispersant la compréhension globale, en plus de rendre la Relativité Générale incompatible avec la mécanique quantique… comme si la masse n’était pas une caractéristique intrinsèque aux particules !

 

Or, que dit la récente découverte de la particule messagère Boson de Higgs ? Qu’il existe un champ de Higgs omniprésent dans lequel toute particule de matière environnante qui possède ce messager est soumise à un effet de colle lui donnant l’apparence d’une masse !

 

Eh bien, puisque l’espace n’existe de manière métrique, donc au sens de la physique qu’en présence de masses, cet espace ne serait qu’une représentation virtuelle, donc itou pour la Relativité Générale, modélisée à grande échelle à partir du champ de Higgs lui-même détectable au travers du fameux boson dans l’infiniment petit. Mais ce n’est pas tout : l’écoulement du temps dans ce modèle est lié aux masses et à la vitesse de celles-ci, donc à l’écoulement du temps, physique classique complétée plus tard par la Relativité Générale. Mais puisque les masses n’ont pas d’existence intrinsèque aux particules de matière, l’écoulement du temps est fondamentalement une conséquence de l’interaction des particules de matière avec le champ de Higgs !

 

Alors, le champs de Higgs en plus d’être omni présent, serait plutôt atemporel et non localisable... on nage dans le quantique au vrai sens du terme.

 

Notre représentation physique de l’univers était cohérente tant qu’on pouvait raisonner uniquement avec les modèles classiques et relativistes, mais çà déraille dès que les outils mathématiques et d’expérimentation deviennent si pointus qu’ils font apparaître des incompatibilités… et c’est le cas aujourd’hui, on parle de la crise de la physique. Il y a donc obligation de remettre en question quelques fondamentaux tels que la nature du temps et sa relation avec l’espace.

 

Là çà coince, parce qu’il y a un siècle à peu près que notre vision du monde est bâtie sur une représentation purement intellectuelle, physico mathématique, échappant à nos sens, à force d’efforts et d’investissements. Or, plus on s’investit dans quelques choses, plus difficile est le retour en arrière.

 

C’est donc la perte de ce réflexe très normal qui conditionne une nouvelle modélisation ; il faut attendre les générations de nouveaux chercheurs moins conditionnés par le travail de leurs prédécesseurs et c’est commencé, je reçois même des mails de doctorants me demandant des éclaircissements sur ma thèse pour travailler le sujet au travers du "couplage temps/matière par la densité probabiliste des fluctuations d’énergie du vide quantique" ; sublime récompense.

 

Pourquoi je te dis tout cela ? Parce qu’en tant qu’ufologue, tu constates au travers de témoignages des recoupements de la manifestation à notre échelle de ces petits couacs, normalement visibles seulement par les spécialistes de la physique théorique au travers des équations. Et c’est à mon avis un signe que la réalité est quelque part de ce côté-là : les faits ont la vie dure, quand ils reflètent une réalité, laquelle s’impose à toutes les échelles, auprès de n’importe quelle couche sociale ou d’activité.

 

Alors, le phénomène Ovni, est-il de nature psychédélique ou bien physiquement matériel ? Nouveau grand débat avec le pavé dans la marre "Ovnis et conscience" comme le fut celui de choisir l’état fondamental de la matière : onde ou particule ? A mon avis, même réponses : d’abord les deux selon le contexte, puis maintenant ni l’un ni l’autre, mais autre chose qui se manifeste à notre échelle par des illusions selon le modèle privilégié.

 

Personnellement, en ce qui concerne les ovnis, je n’en suis qu’à la première hypothèse : les deux, faute de comprendre au-delà de ce qui est à ma portée. Mais je n’exclus pas que la manifestation ovnienne ne soit ni tout à fait psycho je ne sais quoi d’après nos faibles connaissances dans ces matières là, ni tout à fait physique selon nos connaissances en sciences physique.

 

Par exemple,  en ce qui concerne les sciences physiques : D’après ce que je dis plus haut, bien malin celui qui peut prouver quoi que ce soit en partant du principe que l’espace et le temps n’ont peut-être pas d’existence propres !

 

Par exemple, en ce qui concerne notre psyché : Il y a de plus en plus d’exemples qui tendent à montrer que la conscience n’a pas besoin de support organique pour exister. Or, ces exemples montrent tous que les états modifiés de conscience permettent de s’affranchir du temps et de l’espace.

 

Il est donc temps de se poser sérieusement des questions border line sur nos merveilleuses capacités paranormales.

 

Et si la réalité est ni l’un ni l’autre, alors çà devient compliqué parce que plus abstrait, et c’est justement cette voie qui est proposée personnellement par Philippe ! Le problème vient de ce quelle donne l’apparence de revenir aux vieux clichés mystico religieux, honnis après un siècle de matérialisme cartésien. D’autant plus que nous avons perdus les savoirs acquis par des millénaires d’observations et d’expériences dans les domaines obscurantistes qui pourtant pourraient servir de tremplin, maintenant que nous avons des outils plus élaborés.

 

Malgré nos nouveaux moyens d’investigations, il ne faut pas se faire d’illusions : si la réponse est ni l’un ni l’autre, il y a encore beaucoup de chemin à faire, pour dire de quoi il s’agit, parce que cela ferait quasi obligatoirement intervenir une troisième nature (ben oui : ni l’un ni l‘autre) de l’univers (au moins du vivant) dont nous soupçonnons à peine l’existence. La nature de la conscience ? C’est le Grand Gilles, pas moi, mais l’amiral Pinon, qui serait content de me lire : « Dans ce cas, il faut faire des raisonnements hypothético déductifs !... »

 

@Gérard Deforge : Merci Gilles pour ce très long développement qui me passe en partie "au-dessus de la tête". Mais nous sommes tous là pour apprendre!

 

@Gilles Lorant : Oups, Mon gros mail précédent portait sur l’attache Montpont En Bresse et non sur celui des Rites, que je n’ai pas encore tout l

 


 

 

 

Dessin très explicite copié sur le site « Les Sciences Revisitées »

 

 

 

 

 

 

 

Créateurs Georges Metz – Gérard Deforge – Jean Claude Venturini

 

Archives d’Echanges Courriels : Guy Coatanroch, avec votre autorisation de publication

 

Jeudi 25 février 2016

 

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