N° 23 - Trou géant dans le soleil - Réseau FRIPON - Jeudi 16 Juin 2016
Dessin original offert par JM Bigorne- Couverture de LDLN n° 190
La Gazette de l’Ufo
Trou géant dans le Soleil – Le réseau FRIPON
Numéro 23 du jeudi 16 juin 2016
Gwion Coat ar Roc’h
I – Jean Marie Bigorne
J’ai reçu un courrier de Jean Marie Bigorne, qui fait mention dans son écrit :
« … ainsi que précisé… je m’étais adonné à l’Ufologie comme enquêteur de terrain, n’en déplaise à l’auteur d’un ouvrage récent, dès le début des années 1970, période où l’on pouvait rencontrer sur les lieux précis de leurs observations, domicile, rue, prairie, cour de ferme, les témoins d’observation rapprochées avec vision de phénomènes lumineux structurés ou d’aspect matériel, silencieux, aux performances inouïes. Parfois ces objets laissaient des empreintes ou des zones de végétation desséchées, roussies. Plus rarement encore des entités étaient visibles à bord ou au sol, y laissant exceptionnellement des traces.
On collaborait avec la gendarmerie.
Tout cela n’était pas aisé à traiter !
Ayant côtoyé Pierre Guérin, ce dernier m’avait confié des enquêtes à mener dans le Nord/Pas de Calais. Connaissant aussi Claude Poher, sur sa demande, j’avais vérifié sur place plusieurs coordonnées cartographiques et angulaires d’observations régionales. Rémy Chauvin avait fait réaliser des analyses d’échantillons de végétaux qu’il était venu prélever directement.
Et aujourd’hui ? Pratiquement plus de rencontres rapprochées.
J’ai une préférence pour le contact direct, le face à face avec les témoins. Après quelques expériences, j’ai décliné des demandes de participation des reportages TV et préféré rester discret.
Lorsque l’on surfe sur des sites dits ufologiques, on trouve trop souvent les pseudos, les montages, les nombreuses erreurs, les critiques acides, les bêtises…
Vous comprendrez donc une certaine retenue actuelle de ma part ; et puis le poids des ans.
Bien cordialement à vous et à vos collègues,
Jean Marie Bigorne. »
Avec cet envoi, il m’a offert le dessin original pour une couverture du n° 190 de LDLN reconstituant la rencontre rapprochée dite « Le Dolus – Ile d’Oléron le 2 août 1979 », réalisé par Philippe Planard. Je l’en remercie « Avé plaisir ». GC
II – Publications
- Manuel de l’enquêteur de terrain
@Guy Loterre : Je viens de recevoir le manuel de l'enquêteur de terrain du MUFON première édition francophone, publication de mars 2016 traduit par Marc Saint Germain Directeur du Mufon Québec, révisée et éditée par Marc Saint Germain, un pavé de 264 pages. Pour se le procurer écrire à Marc.st-germain@live.ca et payer par Paypal 95 CAD = 68,93 €. Personnellement je pense que l'enquêteur disjonctera avant d'aller jusqu'au bout des 264 pages, mais cela n'engage que moi. J'ai fait des enquêtes sur le terrain dans les années 60 et 70 et je reconnais que si j'avais eu ce manuel j'aurais faits l'impasse quitte à ce que l'observation ne soit pas comptabilisée dans les statistiques d'une part et que l'on passe à côté d'une observation de haute étrangeté. Un gros dommage dans tous les cas. C'était juste pour info !
- Los Ovnis de la Antartida
@Jean Claude Venturini : Un texte de Gérard LEBAT :
http://ovni91.canalblog.com/archives/2016/06/02/33905169.html
Encore un livre à publier en Français.
@Gilles Lorant : Après Bourg-en-Bresse… l’Antarctique, un article consciencieusement replacé dans son contexte par Gérard Lebat, relayé par Serje Perronet (Les Cercles Ufologiques) :
Gérard Lebat a ajouté ces deux photos.
« Les Ovni’s en Antarctique, un nouvel ouvrage de référence écrit par le Professeur Ruben Morales de l’Université Salvador à Buenos Aires.
Le professeur Ruben Morales vient de publier un ouvrage spécifique sur les cas d’apparitions d’ovnis en Antarctique. J’ai eu l’honneur de rencontrer le Professeur Ruben Morales en Janvier et Février dernier à Buenos Aires. C’est un chercheur dans le domaine OVNI depuis la première heure, les années 60. Il a tout au long de sa vie créé et participé à la vie des associations locales, réalisé des enquêtes sur le terrain, organisé ou participé à l’organisation en Argentine d’importantes rencontres avec des ufologues tels Jacques Vallée, le professeur Allen Hyneck….. Il connaît très bien le milieu ufologique en Argentine et il a rencontré ou il travaille encore à ce jour, avec la majorité des chercheurs qui dans ce pays s’intéressent au dossier ovni.
Le dossier OVNI en Argentine et son milieu, a connu un développement similaire à ce qui s’est passé dans notre pays. Dès la fin des années 50 un réseau d’enquêteurs s’est formé, des grands cas ont fait l’objet d’études et ont permis de mettre en évidence un « sujet » qui mérite étude. Des bulletins et revues associatives ont vu le jour. Une commission officielle est actuellement en place au sein de l’armée de l’air. Tout comme chez nous, un réseau de cafés ufologiques s’est spontanément développé, à la suite de l’initiative du professeur Ruben Morales. Dans la majorité des grandes villes, un réseau de passionnés s’intéressant au dossier ovni est en place et dans une ambiance fraternelle, échangent et travaillent en parfait accord entre eux. Le professeur Ruben Morales est donc dans son pays, l’une ou sinon la personne, qui connaît le mieux à la fois le dossier ovni, l’histoire de l’ufologie dans son pays, les acteurs qui au fil des décennies se sont succédés sur le terrain. Il est incontournable, si un jour vous avez la chance d’aller en Argentine, non seulement visiter ce beau pays, aux richesses, cultures, paysages souvent inconnus chez nous, n’hésitez pas à le rencontrer et à évoquer le dossier OVNI en sa compagnie.
Le professeur Ruben Morales enseigne la communication en politique, la psychologie sociale, à l’Université Salvador à Buenos Aires. Il est également titulaire d’une maîtrise en marketing Politique. L’Antarctique et le dossier OVNI n’est pas inconnu pour lui car il était l’ami du Commandant Daniel Périssé, témoin à bord de son navire, de manifestations d’OVNI en Antarctique. Il a approfondi le sujet et a publié divers articles sur les questions relatives à l’Antarctique dans le bulletin du Centre Naval, dans le bulletin de l’association Polar Penguin, sur le site web de la fondation « Marambio et British Antarctic Suvez Club Magazine ». Il a également préfacé l’ouvrage du Commandant Daniel Périssé dans lequel le commandant relate ses réflexions, recherches et études sur le phénomène ovni. Il faut également signaler que le Professeur Ruben Morales a reçu à deux reprises le prix « Almirante Irizar Award » pour ses écrits sur les questions relatives à l’Antarctique.
Traiter du dossier OVNI en Antarctique n’est pas simple car il n’existe que très peu d’information. Toutefois, le Professeur Ruben Morales est un chercheur, l’un de ces hommes qui n’abandonnent pas un travail même s’il parait impossible. Après une dizaine d’années de recherches d’informations, de rencontres, d’études dans les bibliothèques et sur le terrain, ses réflexions et travaux s’étalent sur 350 pages dans son ouvrage. Et encore, il s’est limité… Récemment encore dans un courriel, il me disait combien cet ouvrage lui tenait à cœur car peu connaissent l’étendu du phénomène OVNI en Antarctique. Il relisait, peaufinait, corrigeait, depuis plusieurs semaines cet ouvrage dont l’objectif, loin de reproduire ce qui est connu de tous comme le font bien des auteurs, d’apporter un plus à l’étude générale en cours sur le phénomène ovni.
Nous l’avons compris, les qualités de cet auteur, ses connaissances approfondies – et uniques - du phénomène et du milieu ovni en Argentine et son désir permanent de toujours faire mieux, de chercher ce qui ne va pas, font que cet ouvrage deviendra une référence sur ce sujet très particulier : le phénomène OVNI en Antarctique.
En page de couverture, on peut lire :
« Les OVNI en Antarctique » : le plus grand mystère céleste contemporain du continent inconnu. Les rapports relatifs aux observations d’objets volants non identifiés dans le ciel à la pointe sud de l’Argentine ont été plus nombreux qu’on le croit.
Dans ce livre, pour la première fois, la preuve directe de leur existence, le pour et le contre, des documents officiels, des documents déclassifiés de première mains, inconnus, qui racontent de nombreux récits extraordinaires sur des phénomènes aériens inexpliqués sur le continent blanc.
«Un des plus grands défis de la communication politique pour un gouvernement serait d'informer les citoyens sur le fait que certainement les OVNIS existent et ne qu’ils ne sont pas d’origine terrestre. Les révélations de la Marine, les 6 et 7 Juillet 1965, relatives aux ovnis observés en Antarctique (Argentine) ont été les grandes lignes d'un tel défi communicationnel. Il a en effet déclenché un formidable phénomène de multiplication journalistique avec un impact en cascade sur l'opinion publique ».
Le professeur Ruben Morales, qui est également le fondateur des « Cafés Ufologiques » en Argentine, réseau comparable au niveau des idées, à celui que j’avais fondé en France, présentera son livre le jeudi 2 Juin à 18 h 30 aux « Café Ufologico RIO54 » (la réunion mensuelle pour ceux qui sont intéressés par les OVNIS à Buenos Aires), adresse : Rio de Janeiro 54, CABA. Très connu dans cette région du monde, Ruben Morales a déjà présenté son ouvrage sur les radios locales et il a déjà sur son agenda un grand nombre de rendez-vous publics ou il parlera de son livre et ou vous pourrez le rencontrer, lui parler.
Gérard LEBAT, Juin 2016 »
- Contact en Argentine pour vous procurer son livre, sachez que le professeur Ruben Morales parle un peu le Français : rio54ovni@gmail.com
- Blog des Cafés Ufologiques RIO54 de Buenos Aires : http://rio54ovni.blogspot.pt/
- On trouve également RIO54 et Ruben Morales dans les pages de Facebook.
Il existe des Cafés Ufologiques en Argentine, dans les villes suivantes : Corrientes, Resistencia, La Plata, Santa Fe, Mendoza, Buenos Aires, Capilla Del Montes, Santa Rosa, Utrillo, Rosario, Colon sans oublier Valencia en Espagne, Porto Alégre au Brésil….. Les divers responsables de ces cafés ufologiques, que j’ai rencontré pour certains, sont à même de vous renseigner sur la façon de vous procurer l’ouvrage du Pr Ruben Morales. Les cafés ufologiques en Argentine sont un véritable réseau d’amitiés, dirigés bien souvent par des ufologues de longue date, compétents et sérieux, je citerai pour les avoir rencontré, le professeur Andres Salvador de Corrientes, Luis Emilio Annino de Mendoza, Oscar Mendoza de Santa Fé, les « dinosaures « de Rosario avec le Dr Luis Reinoso aux commandes, Alexis Corréa de Resistencia, Claudio Chena et Monica Dellacroce de Capilla Del Monte, sans oublier Sylvia Perez Simondini du Musée OVNI de Victoria. Des rencontres inoubliables.
http://ovni91.canalblog.com/archives/2016/…/02/33905169.html
@Christel Seval : (Interkeltia) La publication de ce livre en français m'intéresse. Bonne idée Jean-Claude et Gilles. Me reste à obtenir la certitude que ce livre en vaut la peine à la fois sur les plans ufologiques et économiques. Quelqu'un en aurait-il une version électronique même en espagnol ?
@Gilles Lorant : Heu… parler l’espingouin, oui, pour faire la traduction d’extraits particulièrement intéressants, mais qui ne te dédouanerait pas d’une rencontre avec l’auteur ou/et l’éditeur… Et je m’avance un peu, parce que même s’il ne s’agit que d’extraits, il me faudrait la ressource en ce moment la plus rare : la dispo.
A mon avis, à moins d’un évènement ufologique improbable boostant la curiosité des gens, tu as le temps : attendre de voir le succès de ce bouquin dans la culture hispanique en suivant de loin sa vente et les articles inhérents dans les médias (à mon avis, Gérard Lebat peut t’y aider). Hypothèse reposant sur le fait que la culture française a aussi un côté latin marqué : je postule une similitude des marchés en France et Amérique latine aussi en ufologie.
III – Les nouvelles
@Jean Claude Venturini : Un trou géant dans le Soleil.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201605271025345636-astronomie-soleil-trou/
@Gilles Lorant : Et en zappant sur l’un des liens proposés également sur la page j’ai regardé aussi ce qui suit. Te rappelles tu notre échange de mails concernant la vie organique partout dans l’espace qui se terminait par « il ne manque que l’abondance d’eau ». Eh bien, il semblerait que la réponse soit dans l’article :
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201603061023158217-decouverte-eau-espace/
« … La quantité d'eau contenue dans ce réservoir est 140.000 milliards de fois plus élevé que les volumes d'eau de tous les océans de la planète Terre. Cette découverte a été faite parallèlement et indépendamment l'un de l'autre par deux groupes de scientifiques. Il s'agit notamment d'un groupe d'astronomes du California Institute of Technology (Caltech), dirigé par Dariusz Lis et d'une équipe de chercheurs du Laboratoire Jet Propulsion de la NASA, dirigée par Matt Bradford, de ce même Caltech.
Selon les scientifiques, le quasar APM 08279+5255, enveloppé de vapeur d'eau, est situé à 12 milliards d’années-lumière (une année-lumière est égale à 9.460.730.472.580,8 km) de la Terre. Alimenté par un énorme trou noir, ce quasar crache d’énormes quantités d’énergie et est considéré comme étant la plus puissante source d'énergie de l'Univers à ce jour. Sa radiation est de 65.000 fois plus puissante que celle de toute notre Galaxie.
De tels volumes colossaux d'énergie sont émis suite à l'engloutissement de matière par un trou noir gigantesque. Les savants ont calculé que la masse de ce trou noir dépasse de 20 milliards de fois celle du Soleil.
En découvrant le plus grand réservoir d’eau et le plus éloigné jamais détecté dans l’Univers, les astronomes en sont venus à la conclusion que l’eau y est omniprésente. Il s'agit en l'occurrence d'une masse de vapeur d’eau qui équivaut à 140 milliards de fois celle de tous les océans de la planète Terre réunis. Elle est également 100.000 fois plus massive que le Soleil.
Les deux groupes d’astronomes évoqués ont étudié ledit quasar, qui abrite un trou noir 20 milliards de fois plus massif que le soleil et qui produit autant d’énergie qu’un millier de milliards de soleils.
Par ailleurs, il y a de la vapeur d’eau dans la Voie lactée, bien qu’en quantité moindre (4.000 fois moins important que dans le quasar), alors que la plupart de l’eau de la Voie lactée se présente sous forme de glace. »
@Gérard Deforge : Il y a des moments où l'on préférerait ne pas savoir !
@Patrice Galacteros : Oh Pas de panique. Il s'agit juste d'un trou coronal, dans la très haute et très légère atmosphère du soleil qu'on appelle la couronne. Aucun effet notable sur le rayonnement lumineux total du soleil. Ce trou est filmé dans l'ultraviolet extrême et/ou les rayons x car seule la couronne produit ces rayonnement (Et un tout petit peu sauf pendant les éruptions solaires).
Par contre ce trou doit correspondre à un départ de vent solaire extrêmement puissant. Ça peut avoir un impact sur les télécoms de la terre si on était dans la direction du tir et il ne ferait pas bon se balader en astronef dans le système solaire dans ces conditions. Certains sites parlent de ‘’trou coronaire" et ça c'est vraiment très mauvais !
@Gilles Lorant : Et si c’était pareil pour bien des choses « étranges » (dont le phénomène « Ovnis ») ? Ne faut-il pas être tout simplement « prêt » pour affronter la réalité crue dans bien des domaines, en fait ?
IV - Témoins militaires d’OVNI sur des sites nucléaires
@Jean Claude Venturini : Pour Info, des militaires témoignent :
http://www.cerpi-officiel.be//stories/pdffiles/National_Press_Club_27_09_2010.pdf
National Press Club Washington, D.C. 27 septembre 2010 Traduction et sous-titrage :
EP & JLG pour Project Avalon.net 13 octobre 2010.
http://www.youtube.com/watch?v=73ZiDEtVms8
1. Robert Salas, ancien officier USAF de lancement de missiles nucléaires.
2. Dwynne Arneson, USAF Lt. Col. Ret., officier responsable de centre de communication.
3. Robert Jamison, ancien 1er Lt. USAF, Commandant d'équipe de ciblage de missiles nucléaires.
4. Charles Halt, USAF Col. Ret., ancien commandant de base adjoint.
5. Jerome Nelson, ancien Cdt. Adjoint USAF, 579è Escadre de Missiles Stratégiques
6. Patrick Mc Donough, ancien ingénieur USAF, expert géodésique sur sites de missiles nucléaires.
7. Bruce Fenstermacher, ancien Capt. USAF, Commandant d'équipe de Combat Missile.
« Robert Hastings : Des documents déclassifiés du gouvernement des Etats - Unis et des témoignages de membres du personnel militaire américain, ancien ou retraité, confirment au-delà de tout soupçon, la réalité d'incursions répétées d'OVNI sur des sites d'armes nucléaires. Quand je dis "OVNI", les témoins ont décrit ces vaisseaux comme étant de forme circulaire, ou de forme cylindrique ou sphérique. Ces objets sont capables tant de vol en surplace que de vol à grande vitesse, d'habitude de façon complètement silencieuse. Au cours des 37 dernières années, j'ai personnellement localisé et interviewé plus de 120 de ces membres du personnel militaire, ancien ou retraité, qui tous ont fait rapport d'incidents d'OVNI à l'un ou plusieurs des emplacements suivants : sites de missiles nucléaires, aires de stockage d'armes nucléaires, sites d'essais d'armes nucléaires au Nevada, et dans le Pacifique pendant l'ère des tests atomiques atmosphériques… »
@Christel Seval : (Interkeltia) Pour votre info j'ai tenté de publier en français le livre de Robert Hastings, ainsi que celui de Salas.
Avec Hastings, le ton a vite dégénéré quand je me suis rendu compte que son livre en anglais était illisible. A l'époque je lui ai proposé de résumer et réécrire moi même son bouquin mais cela l'a vexé et je me suis fait bannir de sa liste.
Quant à Salas, son histoire est extraordinaire et valait le coup d'être publiée. Malheureusement, encore une fois, son livre n'était pas à la hauteur, trop court, trop technique. J'ai abandonné sans lui demander de bien vouloir réécrire son histoire, sachant que c'était peine perdue puisqu"il ne l'avait pas fait malgré sa médiatisation internationale.
Tout cela est très regrettable.
@Jean Pierre Troadec : Merci à toi d'avoir restitué un contexte d'auteurs.
V - Le réseau FRIPON
@Michel Turco : Ce réseau de surveillance du passage des météorites dans nos cieux, pourrait rendre un grand service à l'ufologie.
FRIPON est un réseau de 100 caméras pour surveiller le ciel de France pour
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Retrouver des météorites immédiatement après leur chute
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Pister la source des météorites
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Partager cette aventure avec le public via le projet Vigie Ciel
@La Dépêche du Midi : Vendredi 3 juin 216 « … Des bouts d’étoile et peut-être d‘autres choses pourront être détectées… saviez vous que c’est dans la région d’Orguiel en Tarn et Garonne qu’est tombée une des météorites les plus célèbres du monde ? Le 14 mai 1864, le bolide traversant l’atmosphère a été vu par des milliers de témoins, tant dans le nord de la France qu’en Espagne. Mais c’est bien entre Toulouse et Montauban qu’est tombée cette masse de 14 Kg. Les scientifiques du monde entier se sont penchés sur cet objet volant venu d’un autre monde… en 1961, on a même trouvé des… graines. Des semences venues de l’espace ? Non, une blague faite aux savants pour embrouiller ceux-ci, Crop’s Circles de l’époque… un morceau de cette précieuse chondrite carbonée est conservée au Musée d’Histoire naturelle de Montauban.
@Jean Pierre Troadec : Merci de l'info Michel, le réseau est en lien avec le GEIPAN. Ce dernier l'avait mis en valeur lors de la tenue du CAIPAN en juillet 2014.
(Plus ancien existe aussi le « Réseau Suricate », le réseau des opérations Suricate, association selon la loi 1901 qui consiste en l’observation et l’étude du ciel de manière pragmatique et à caractère scientifique. Divisés en pôles, l’objectif est d’étudier tout types de phénomènes aérospatiaux insolites ainsi que rentrées atmosphériques de même type et ce afin de comprendre ce qu’ils sont. GC)
@Guy Loterre : Les veillées d'observations et de surveillance du ciel et de l'espace sont ouverte gratuitement à tous les observateurs de terrain; ufologues, astronomes, météorologues, chasseurs d'orages, scientifiques.
Un PC Suricate est actif tout au long de la veillée, qui centralisera vos observations et les rediffusera à l'ensemble des participants. N'oubliez pas de télécharger l'application smart phone "Opération Suricate" (gratuite sur Android & Apple).
Pour participer à la veillée, remplissez le formulaire d'inscription via le lien suivant :
http://cercles-suricate.e-monsite.com/contact/inscription-op-suricate-02-07-2016.html
Vous recevrez des sms sur votre smart phone et des notifications via l'appli "Opération Suricate" (téléchargeable gratuitement sur Android et Apple) tout au long de la veillée.
VI - Histoire de boules et Boules en Aveyron
@Michel Turco : A propos de boules intelligentes (Pas forcément E.T.) Connaissez-vous cette histoire ?
« … En février 1893, à l’âge de 31 ans, une Anglaise excentrique et téméraire quitte Londres et le confort d’un quartier bourgeois pour l’Afrique de l’ouest. Elle a l’intention de poursuivre les recherches de son père et va sillonner la région jusqu’en 1895. Elle laissera à la postérité quelques livres dont Voyage en Afrique de l’Ouest où elle fait part d’une bizarre rencontre.
Un soir qu’elle est partie seule en pirogue pour se baigner dans le lac Ncovi elle aperçoit une boule lumineuse de la taille d’une orange et de couleur pourpre qui sort des arbres de l’autre côté du lac.
L’objet est aussitôt rejoint par un deuxième, de même taille, forme et couleur. Les deux petites sphères, qui se déplacent sans bruit, survolent bientôt une plage proche à faible distance du sol.
Elles décrivent des cercles et semblent par moment jouer à se poursuivre.
Les deux boules s’étant séparées, Mary, qui n’a jamais eu froid aux yeux, décide de suivre celle qui s’est à nouveau élancée au dessus de l’eau. Elle la voit soudain plonger dans le lac où elle peut la suivre des yeux un moment. L’objet n’est bientôt plus visible à cause de la profondeur.
Intriguée, elle raconte l’événement aux indigènes en leur demandant des précisions sur ce qu’elle croit être un gros insecte lumineux. Il lui est dit qu’il ne s’agit pas d’un insecte mais d’un Ankou, esprit malin qu’il vaut mieux éviter.
Nous aurions tort de ne pas croire Mary Kingsley, qui n’a jamais éprouvé le besoin de travestir ou d’enjoliver la réalité. Son cas est intéressant car il ne s’appuie pas sur un folklore préétabli : elle n’avait jamais entendu parler de boules lumineuses flottant à hauteur d’homme, de tels phénomènes étant rarissimes à l’époque. »
@Jean Claude Venturini : J'avais eu un témoignage il y a quelques années d'une personne qui m'a raconté que lorsque petit il était en vacance chez sa grand mère il avait vu une petite boule verte se promener dans le jardin au raz du sol.
Et c'était (comme par hasard) à Saint-Affrique dans l'Aveyron.
Voilà j'ai retrouvé le témoignage sur mon mail.
« Bonjour,
Mon histoire est assez "simple" (et en même temps il s'agit d'un témoignage assez peu vérifiable).
J'étais encore enfant et je passais tous les étés dans l'Aveyron chez mes grands-parents à Saint-Affrique exactement. Un de ces été, je devais avoir 12 ans ce qui situerais l'histoire vers 1993, mais mes souvenirs quant à la date précise sont très diffus. Logiquement cela devait être fin juin/début juillet, j'observais des chauves souris ; la nuit venait de tomber. J'étais dans le jardin.
Au moment où je décidais de rentrer à l'intérieur de la maison, je me retourne afin de me diriger vers la porte quand je tombe nez à nez avec une boule vert fluo flottant dans l'air, de la taille d'un gros ballon de foot. Incapable de bouger je ne ressentais néanmoins aucune peur et j'étais fasciné, comme hypnotisé par ce phénomène.
Le plus étrange est que je me souviens pertinemment de ne pas pouvoir bouger, ni les bras, ni les jambes mais je me suis pourtant déplacé sur environ 20 mètres en franchissant une sorte de petit fossé, comme si la boule m'emmenais vers quelque part.
Puis arrivé au niveau de l'arrière de la maison, 15 à 20 mètres plus loin, la boule s'est éloigné, virant à gauche à une vitesse lente pour disparaître cachée par le mur. Quant à moi je restais encore "bloqué" dans la même position durant une ou deux minutes. Une fois que je pouvais bouger, je me suis dirigé vers l'endroit où était allé cette boule lumineuse mais il n'y avait plus rien.
Je vous l'ai dit, je ne pourrait situer cette histoire dans le temps précisément, en revanche je me souviens quasiment seconde après seconde du déroulement de la scène avec précision. Je n'ai eu peur que par la suite, en ne sachant pas à quoi j'avais eu à faire, mais durant le phénomène j'étais au contraire comme empli d'un sentiment de plénitude.
Mes recherches ultérieures sur les phénomènes inexpliqués ne m'ont quasiment jamais apporté de témoignages véritablement proches du mien, c'est pourquoi en voyant l'histoire "Boules de l'Aveyron", ceci a éveillé ma curiosité.
En espérant que ce témoignage malheureusement très flou et bien postérieur à vos recherches, puisse les faire avancer, cordialement,
Olivier Pailhoriès »
@Guy Coatanroch : Rappel de deux de mes enquêtes, ‘’L’œuf de Rosières sur Cérou’’, Rosières près de Carmaux, département du Tarn n’est pas loin à vol d’oiseau de l’Aveyron et en 1975 une ‘’Boule Orange’’ près de La Fouillade (Aveyron), village de Robert Lortal dit « Roro ».
L’œuf de Rosières
« … Le jeudi 27 mars 1997 à une heure trente du matin, je décidais malgré moi de promener ma vieille chienne incontinente, Anis. De la place, je me dirigeais vers la direction de Saint Jean, puis je bifurquais vers la salle des fêtes. Comme d’habitude, je suivais ce parcours de plus de deux kilomètres, avant de rentrer à la maison. Arrivé à 100 mètres de la salle des fêtes, marchant avec le cabot dans le frimas, j’entendis des bruits d’enfants comme s’ils pratiquaient avec enthousiasme des jeux de plein air. Je discernais même des coups de pied vigoureux dans un ballon de foot, avec la force d’un adolescent, contrastant avec les piailleries des jeunes bambins.
Changeant de direction pour passer près du parc d’enfant jouxtant la salle des fêtes, je me refusais à croire que des adultes puissent laisser leur progéniture jouer à de telles heures dans le froid et à la veille d’une journée de classe. Une force immense, à peut être imputer à un instinct de préservation, m’empêchait de regarder la scène, je fis un effort démesuré pour tourner la tête et là stupeur…
Un œuf de 40 cm de long plus petit qu’un ballon de rugby (en pays d’Ovalie) et plus gros qu’un œuf d’autruche (on approche de pâques) sautait comme s’il donnait « un coup de rein » pour reprendre son élan. Dans ses déplacements, il rebondissait dans l’air sur une hypothétique plaque de plexiglas placée à 1.80 mètres du sol. Ses cahots ne dépassaient pas deux mètres.
J’étais terrorisé, mes cheveux étaient dressés sur la tête, je pensais traverser une crise de schizophrénie. J’ai immédiatement observé le chien en remarquant que ses mouvements de tête suivaient aussi du regard cet objet insolite. Je puisais en moi des forces morale pour me rapprocher dangereusement du machin truc mais il s’éloignait au fil de mes pas. Cet œuf produisait un bruit sec comme celui d’un pivert « toc, toc, toc » à chaque rebond. Il plagiait les voix ou plutôt les borborygmes d’un groupe de jeunes enfants « ayi aya kéya », imitation d’un langage de bambins de trois à cinq ans reconnaissable par le timbre mais incompréhensible, la sonorité des mots était familière en étant dénué de sens. Essayant de l’attirer en l’appelant comme si l’on s’adressait à un chat, il s’inclina comme pour prendre son élan puis sauta sur une branche placée derrière lui. Il ne s’arrêta pas en si bon chemin, il continua de passer d’arbre en arbre avec de temps à autre des intermèdes sonores dans l’espace. À mesure que j’avançais, il reculait comme pour se dissimuler ou éviter ma présence.
Je suis retourné chez moi pour protéger la chienne. Entre temps, je me suis bizarrement longuement rasé peut être pour me présenter à l’œuf aussi glabre que son enveloppe ne le fût ou plutôt pour temporiser et conforter ma lâcheté en espérant qu’il soit parti à mon retour. Je suis revenu une heure quinze plus tard, vers trois heures du matin. Je ne le revis plus jamais, à mon grand soulagement il avait disparu des lieux, mais mon confort émotionnel en a pris un sacré coup. Pendant une semaine on ne me revit plus, volets fermés et claquemuré dans ma chambre. Emmitouflé sous quatre édredons pour oublier cette vision perturbante, je suais passivement pour éteindre ma détresse, les yeux hagards fixant le plafond dans la pénombre. Après cette courte hibernation, une soif d’explications et de réponses traversait ma conscience.
Un ésotériste a interprété ce contact comme une renaissance spirituelle et m’a conseillé de sortir de ma coquille… Qui surveille notre évolution, nos comportements ? Les supposées marionnettistes de cette machine infernale, avaient ils perdu le contrôle de leur artefact par suite d’une défaillance technique, d’une erreur de manipulation ou d’un choc ? Qui le saura un jour ?
Certains de nos militaires, de nos gouvernants sont-ils au courant de ces étranges phénomènes ?
Je ne cherche pas à convaincre mais à transmettre un vécu, libre à vous de vos jugements.
Même si cette histoire est difficile à gober je n’ai jamais cherché à étouffer l’affaire. Ce traumatisme couvait en moi, j’avais besoin de vous en faire part, de sortir de ma coquille, bien que je sois déjà cuit de la manière dont vous pourriez me juger à entendre cette histoire de fou. Aujourd’hui, je ne suis plus brouillé avec ma famille de ne pas avoir été cru, d’ailleurs ils ont oublié l’événement. Par contre depuis ces faits, je n’aurais jamais cru que cette chronique de l’œuf dure aussi longtemps dans ma mémoire.
Frédéric HERTZLER
(Libre de tout propos, Frédéric accepte le débat. GC)
En 1975, une ‘’boule orange’’ près de La Fouillade (Aveyron)
« J’écrivais à l’époque : Les pouvoirs avec leurs complices les médias présentent comme de mauvaises interprétations, des rêveries de mythomanes, de canulars de joyeux farceurs ou de personnes soucieuses de publicité, les observations ou les recherches sur les phénomènes aériens lumineux ou pas ainsi nommés OVNI, Objets Volants Non Identifiés. Des sources de grande crédibilité indiqueraient leur existence mais la révélation de cette existence serait placée au-dessus du niveau top secret par convention semblerait-il, internationale, très haute classification existante chez les militaires et les agences gouvernementales. Qu’est-ce que ces autorités veulent cacher depuis si longtemps quand des témoins de ces phénomènes se rassemblent pour en discuter puisqu’on ne les écoute pas la plupart du temps par les pouvoirs et la plupart des scientifiques. Leurs observations ne sont pas prises au sérieux. Quoique ces autocraties fassent, il leur faudra bien un jour qu’elles en parlent.
Il semblerait que les phénomènes de ‘’boules’’ lumineuses dans le département de l’Aveyron aient une prédilection pour la région comprise entre les villages de La Fouillade, Roumagnac et Saint André de Najac, en effet, par un témoignage tardif de Nicolas IZARD, un jeune ufologue natif de la région, il s’avère que son père, Francis IZARD a été témoin d’un phénomène de boule lumineuse orange une nuit d’été de l’année 1975.
Laissons à son père la description du phénomène :
« Il faisait nuit. Entre 23h00 et 02h00 du matin, au cours de l'été 1975, nous rentrions d'une fête d'un village voisin avec ma femme. Je roulais donc en voiture sur la route de la Coste de Couronne en direction de Loupiac, commune de La Fouillade. Nous venions de déposer ma soeur chez mes parents qui habitaient la ferme 400 mètres en dessous le lieu de l'observation. Sur notre droite sur un terrain appartenant à la proche ferme des Saurel, nous avons vu une boule très lumineuse au contour net de 3 mètres de diamètre environ et à moins de 100 mètres dans la pente ascendante d’une châtaigneraie qui existe encore de nos jours. Le phénomène lumineux jaune orangé était posé sur le sol et immobile.
Position de la boule : 44 12 56.64 N -2 04 50.95 E à 416m (Google Earth)
Photomontage de jour au même endroit
Ce n'était pas la Lune puisque la pente ascendante du terrain se prolonge derrière le lieu de l'observation. Nous pouvons affirmer que ce n’était ni la Lune ni un feu ni un éclairage de tracteur. Mon épouse et moi, nous avons vu la même chose. Quoique revenant d’une fête, nous n'étions pas sous l’emprise de stupéfiant ou d'alcool. Nous sommes partit le plus vite possible. Le lendemain nous en avons parlé à notre famille qui ne nous a pas pris au sérieux. »
Monsieur Francis IZARD né en1954 avait 21 ans à l’époque. Il habite toujours la région. De la sphère lumineuse jaune orangée, il n’a pas noté de variation dans son aspect ni de déplacement, aucun changement de couleur, aucun mouvement observé, elle flottait au-dessus du sol, dans la châtaigneraie en direction du sud par rapport à la route à une distance imprécise mais par rapport à la route et à la pente du terrain, à une distance qu’il estime entre 50 et 100 mètres. Le temps était au beau, sans nuage, il ne se souvient plus si cette nuit était avec ou sans Lune. Il n’y avait aucun bruit mis à part le moteur de la voiture à l’arrêt. L’observation a été faite à travers les vitres du véhicule, les témoins arrivant à proximité n’ont rien fait de mieux que d’observer stupéfaits et de peur ont pris la fuite car ils ont pensé bizarrement‘’ que c’était un OVNI de ‘type extraterrestre’’.
(Curieusement, me rendant chez Robert Lortal, sur la route menant à La Fouillade, un lieudit porte le nom de La Boule Blanche, ce qui pourrait indiquer que les Boules dans l’Aveyron ont pris leurs habitudes et leur quartier dans ce coin ou alors c’est une farce d’un ufologue et humoriste ou d’un p’tit gris coquin ! GC)
VII - Rencontres
- Ovni Paris
@Guy Loterre : OVNI PARIS déménage suite à la fermeture définitive de la cafétéria Comptoir Casino après 10 ans de loyaux services. Le nouveau lieu des rencontres se situe au restaurant "Le Bistrot de l'Arche" à 30 m à gauche de l'Arche, 38 Parvis de la Défense à 92800 Puteaux. (de 19h à 23h prix moyen de 15 à 20 € plateau repas obligatoire).
- Avec Marc Bethmont
Afin de se changer les idées et sortir un peu des ennuis de d’inondations qui ont détruit ses biens, Marc Bethmont a retrouvé dans le Vexin quelques uns de ses Amis « Mousquetaires de l’Ufo » :