N° 27 - Conflit de Canard en Aveyron - 8 septembre 2016

 

 

 

 

 

 

Denise ou l’Enfant des Etoiles

 

La Gazette de l’Ufo

 

 

Conflit de « Canard » en Aveyron

 

Numéro 27 du jeudi 8 septembre 2016

 

Gwion Coat ar Roc’h

 

 

 

 

I – Vers le premier satellite de communications « quantique » ?

 

@Michel Turco : D’après le « Figaro » du 16 août 2016.

 

La Chine a effectué aujourd'hui le premier lancement mondial d'un satellite à communication quantique, a annoncé un média d'Etat, une percée technologique pour Pékin, qui ambitionne par ce biais d'édifier un système inviolable de communications cryptées.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/08/16/97001-20160816FILWWW00071-la-chine-lance-un-satellite-quantique-une-premiere-mondiale.php

 

« La Chine aurait effectué aujourd'hui le premier lancement mondial d'un satellite à communication quantique, a annoncé un média d'Etat, une percée technologique pour Pékin, qui ambitionne par ce biais d'édifier un système inviolable de communications cryptées.


Le lancement aurait été effectué dans le désert de Gobi (nord), aurait annoncé l'agence officielle Chine nouvelle, et interviendrait à l'heure où les Etats-Unis, le Japon et d'autres nations souhaiteraient elles aussi s'imposer dans cette technologie en plein essor. Le satellite, serait nommé Mozi en l'honneur d'un philosophe chinois du 5e siècle avant J.-C. ; il serait utilisé pour démontrer l'intérêt de la technologie quantique dans les communications longue distance.

 

La Chine a investi d'énormes ressources financières dans ce marathon technologique, l'un des nombreux investissements de Pékin dans la recherche scientifique de pointe, de l'exploitation minière des astéroïdes aux manipulations génétiques.

 

A la différence des méthodes classiques de transmission sécurisée, le système utiliserait des photons (une "particule fondamentale" du champ électromagnétique) pour envoyer les clés de cryptage nécessaires au décodage de l'information. Les données contenues dans ces photons seraient impossibles à intercepter: toute tentative d'espionnage provoquerait leur autodestruction, affirmerait Chine nouvelle. »

 

@Pierre Letzkus : Joli... un satellite qui crypte quantiquement les données "on-line"... de mon point de vue, ça n'a rien d'excitant.

 

En effet, si je comprends bien, on envoie les données au satellite, il les crypte au moyen d'une clef quantique (photon) et retransmet le signal "ailleurs" sur terre.

 

Le récepteur devra disposer d'un moyen de décryptage (rudimentaire, pas la peine d'être un ordinateur quantique pour cela). Jusque là, rien de "terrible", sinon la complexité de la clef de cryptage.

 

Par contre, l'émission de données depuis la terre vers le satellite n'est pas cryptée quantiquement !

 

C'est donc tout le système de transmission en amont qui reste "hackable".

 

Bref, je ne vois pas l'intérêt, sinon pour la chine de montrer qu'ils maîtrisent la technologie quantique et le positionnement satellitaire (qui à ce sujet est un vrai merdier depuis l'arrivée de la chine dans l'espace car ils ne respectent rien quand au positionnement et corrections des satellites. Résultat, les équipes européennes et US en charge de  la gestion des satellites doivent constamment composer avec le "je-m'en-foutisme" chinois).

 

@Michel Turco : Lorsque j'ai pris connaissance de cette information, passée la surprise, des questions me sont venues à l'esprit :

 

Par exemple, pour moi une liaison d'informations quantiques inclue l'intrication quantique. A moins qu'on ait trouvé une alternative mais j'ai un doute.

S'il s'agit d'une application de l'intrication quantique, jusqu'à ce jour, à ma connaissance, personne n'a encore atteint ce stade de la communication en dehors de l'expérience de laboratoire sur de courtes distances.

 

Le matériel utilisé est lourd et encombrant donc non satellisable.

 

C'est d'une très grande complexité. La manipulation des électrons intriqués pour communiquer, pose des problèmes dont le plus important est la mesure parce qu'il n'y a aucun moyen de savoir dans quel état se trouvent les électrons.

 

Pour un électron, on a 50% de chance de tomber sur un spin « up » et 50% de chance de tomber sur un spin « down ». Et aussi, en effectuant une mesure sur la première particule, on finit par déranger les deux en même temps puisqu'ils forment un système unique non local. Il y a un autre problème à résoudre: celui de la cohérence. Parce que si on oblige une particule intriquée à se mettre dans un état bien défini, l'intrication disparaît.

 

En supposant qu'on ait réussi à franchir ces difficultés, il reste à concevoir la technologie miniaturisée pour l'installer à bord d'un satellite.

 

Ce n'est pas gagné ! J'ai vraiment un gros doute sur cette réalisation chinoise.

 

Mais comme il faut toujours se méfier des chinoiseries, qui sait ? ;-)

 

J'ai oublié de préciser que je parle de communication quantique et pas de cryptage quantique qui peut être associé à un système de transmission des données classique.

 

En réagissant à cette information, je me suis un peu égaré !

 

(A vrai dire, à dire vrai, il a été lancé le tout premier satellite à communication quantique devrant peut être ouvrir la voie à un futur système de télécommunications devant être ultra sécurisé sans faille. Mais !

 

A la différence des méthodes classiques, le système qui ‘’s’inspire’’ de la mécanique quantique utilise des photons constituant la lumière pour transférer l’information instantanément et de façon qui ‘’serait totalement sure’’ ; la technologie s’appuierait sur le fait qu’un photon ne peut être intercepté, mesuré ou même observé sans être altéré. Les données contenues dans les photons seraient impossibles à détourner. L’efficacité de cette technologie n’a été jusqu’à maintenant prouvée pour la transmission de messages que sur de courtes distances, le maximum avoisinerait les 300 kilomètres.

 

Le satellite émetteur devrait être orienté de façon extrêmement précise vers les stations réceptrice dont l’image serait comme « lancer une pièce de monnaie d’un aéronef volant à 100 kilomètres d’altitude et espérer qu’elle vienne se ficher exactement dans la fente d’une tirelire de type cochon en porcelaine en rotation » (Tiré de l’excellent reportage de Fleur Olagnier de ‘’La Dépêche du Midi’’. GC)

 

@Jean Claude Venturini : Ce qui est sûr c'est que cela demande beaucoup plus d'information ! Mais c'est Crypté même à ce stade ;-))))

 

@Gilles Lorant : Des remarques en vert dans le texte…

 

Lorsque j'ai pris connaissance de cette information, passée la surprise, des questions me sont venues à l'esprit. Par exemple, pour moi une liaison d'informations quantiques inclue l'intrication quantique.

 

Çà c’est un des aspects sensationnels, mais il y a plein de phénomènes plus ou moins déjà connus avant le développement de la mécanique quantique qui sont repris par elle sous un angle différent… sans pour autant fournir matière à rêver.

 

L’intrication n’est donc qu’un aspect qui peut très bien ne pas être au centre d’un problème donné : la liaison d’informations par exemple s’appuie beaucoup sur les propriétés quantiques de la lumière (développement de fibres optiques de plus en plus performantes) sans faire appel à l’intrication.

 

Alors que l’effet « tunnel » des fonctions Josephson, lui, a besoin d’en tenir compte.

 

A moins qu'on ait trouvé une alternative mais j'ai un doute.

S'il s'agit d'une application de l'intrication quantique, jusqu'à ce jour, à ma connaissance, personne n'a encore atteint ce stade de la communication en dehors de l'expérience de laboratoire sur de courtes distances.

 

Non, en effet.

 

Il y a bien eut, au début des années 2 000 je crois, une tentative de procédé anti piratage des Cd et/ou DVD basé sur un cryptage quantique mais il n’y a pas eu de suite après les annonces tonitruantes de la presse.

 

C’est Alain Aspect, un français, qui avait précédemment donné une piste théorique de faisabilité grâce à ses travaux concernant le paradoxe EPR (démontrant par  là que Einstein avait tort).

 

Alors, les recherches pratiques continuent, en vain pour l’instant… à moins que dans la zone 51…

 

Le matériel utilisé est lourd et encombrant donc non satellisable. Et pour cause, c’est encore au niveau des labos.

 

C'est d'une très grande complexité. La manipulation des électrons intriqués pour communiquer, pose des problèmes dont le plus important est la mesure  parce qu'il n'y a aucun moyen de savoir dans quel état se trouvent les électrons.

 

Si, mais à condition de les annihiler… sic !

 

Alors, il faut trouver le moyen de les dupliquer (créer des jumeaux strictement identiques) juste avant qui, eux, transmettent une info… fausse.

 

Or « fausse » veut dire « inverse » dans le cas où il n’y a que deux possibilités d’état : on sait alors interpréter l’info correctement.

 

Un des rares trucs qui soit candidat au niveau des leptons de la famille des fermions (cas de l’électron) est le Spin.

 

Et c’est intéressant parce qu’alors, il n’est pas nécessaire de créer un jumeau mais seulement un lepton de même spin qui peut être détruit par la mesure illico tandis que l’électron « frère » se promène.

 

Bref, c’est très complexe.

 

Pour un électron, on a 50% de chance de tomber sur un spin « up » et 50% de chance de tomber sur un spin « down ». Et aussi, en effectuant une mesure sur la première particule, on finit par déranger les deux en même temps puisqu'ils  forment un système unique non local. Il y a un autre problème à résoudre: celui de la cohérence. Parce que si on oblige une particule intriquée à se mettre dans un état bien défini, l'intrication disparaît.

 

En supposant qu'on ait réussi à franchir ces difficultés, il reste à concevoir la technologie miniaturisée pour l'installer à bord d'un satellite.

 

Ce n'est pas gagné ! J'ai vraiment un gros doute sur cette réalisation chinoise.

 

Le gouvernement chinois traîne des complexes et il a besoin de se montrer en haut de tous les podiums pour asseoir sa revendication de grande puissance, en interne comme en externe de la Chine.

 

Et à mon avis, plus il y aura là-bas de problèmes socioéconomiques, pire se sera.

Oui, eux sont capables de faire demain un faux film de débarquement sur Mars par… téléportation quantique.

 

Mais comme il faut toujours se méfier des chinoiseries, qui sait ? ;-)

 

II – Haplo groupes - Stockage en ADN de synthèse

 

@Michel Turco : Pour les personnes intéressées par la généalogie, voici des informations sur les haplo groupes qui peuvent apporter un plus :

 

http://www.eupedia.com/europe/origines_haplogroupes_europe.shtml

Attention: Les haplo groupes ne servent pas à déterminer le patrimoine biologique et encore moins l’ethnicité d’une personne, mais sont un outil qui permet de tracer les migrations anciennes ancestrales.

 

« Des études sur l'ADN ont permis de catégoriser tous les êtres humains sur Terre en une série de groupes généalogiques descendants d'un ancêtre commun à un moment de la préhistoire. On appelle ces catégories des « haplo groupes ». Il y a deux sortes d'haplo groupes : les haplo groupes définissant le chromosome Y (Y-ADN) hérité de père en fils, et ceux de l'ADN mitochondrial (ADN mt), toujours hérité par la mère. Le premier renseigne donc sur les ancêtres de la lignée agnatique (ou patrilinéaire), et la seconde sur la lignée cognatique (or matrilinéaire).

 

Les haplo groupes Y-ADN sont également utiles pour déterminer si deux individus apparemment non apparentés mais portant le même nom de famille descendent bel et bien d'un même ancêtre dans un passé pas trop lointain (3 à 20 générations). Pour le savoir, on compare les haplo types des marqueurs STR. Les tests de SNP quand à eux permettent de retracer ses origines ancestrales beaucoup plus lointaines, et d'identifier le groupe ethnique antique auquel nos ancêtres appartenaient (par exemple celtique, germanique, slave, gréco-romain, basque, ibérien, phoenicien, juif, etc.).

 

En Europe, les haplo groupes ADN mt sont répartis de manière relativement homogène sur le continent, et par conséquent ne peuvent pas être associés avec un groupe ethnique de l'Antiquité.

 

Cependant, ils peuvent parfois révéler certains problèmes de santé potentielles (voir maladies associées avec des mutations de l'ADN mitochondrial et certains sous-groupes ADN mt sont associés avec une même ascendance d'origine.»

 

 

(Intéressant en matière de recherche ethnologique et archéologiques, non ? D’autant plus que tout mène à la recherche de solutions pouvant déborder et rendre service à d’autres problématiques.

 

Comme exemple,  l’industrie du cinéma est confronté à ceci : comment conserver des contenus de films une ou plusieurs fois visionnés par des spectateurs et n’étant plus à la mode ? Conservation sur pellicules, DVD, disques durs ? Les supports existants n’offrent que des solutions peu satisfaisantes en terme de durée de vie, d’obsolescence des technologies et d’infrastructure de stockage. Il en résulte que de nombreux excellents films produits ont disparus ou ont vu pour d’autres leur qualité se détériorer, d’où des recherches pour trouver une meilleure alternative.

 

On a eu recours à l’ADN de synthèse. Par définition l’ADN est le support de l’information génétique, pourquoi ne s’en être pas être inspiré pour stocker des contenus préalablement séquencés et numérisés, transformer des lignes de codes en des séries constituant des petits bouts de chaînes obtenant plusieurs millions/milliards de brins microscopiques d’informations pouvant être restituées ?

 

Solution extravagante cette technique vient de faire ses preuves certes coûteuses et complexes à mettre en œuvre mais méthode viable. C’est quasiment fait pour un stockage quasiment universel ou la Mémoire de l’Humanité dans un ‘’bidule’’ pas plus gros qu’un sou capable de stocker 360 To pendant 13,8 milliards d’années.

 

Mémoire de l’Humanité ou autre, bien entendu. Extraits de ‘’Paris Match’’ GC)

 

III Communication du GEEPI - Appel à témoins

 

@GEEPI : « C’est de nouveau dans le secteur du ‘’Haut de Somme’’ que le phénomène ovni a été signalé. Déjà en 2015, le GEEPI avait pu rencontrer un habitant de Montdidier qui avait, à l’occasion de promenades, vu passer par deux fois de petites sphères au-dessus du parc éolien situé à l’est de la ville.

 

Nous avions aussi rencontré un témoin du village de Royaucourt dans l’Oise, situé à la limite de Montdidier. Une enquête qui nous avait démontrée l’interaction forte entre la conscience du témoin et le phénomène.

 

Cette véritable vague ovni avait gagnée en ampleur en 2014-2015 avec, en trame de fond, les survols d’étranges ‘’drones’’ au-dessus des centrales nucléaires du territoire national.

 

En cette année 2016, c’est donc dans la nuit du 18 au 19 juillet, sur une ligne orientée sud-est/nord-ouest et  allant de Ham à Amiens, que des phénomènes lumineux sont apparus à des dizaines d’habitants du département de la Somme. Selon le Courrier Picard, le phénomène nocturne aurait commencé à 23h30 et se serait fini vers 1h00 du matin. Quand certains décrivaient des points lumineux blancs, d’autres parlaient de points en formation ‘’triangulaire’’.

 

 

Voilà maintenant deux ans que notre association tente de comprendre pourquoi ce phénomène habituellement centré autour de sites militaires ou centrales nucléaires, se focalise sur une zone à priori dénuée d’attrait pour lui. Plusieurs pistes sont actuellement étudiées par l’association :

 

Le point d’entrée discret d’un phénomène aérien de nature intelligente : secteur avec densité de population plus faible, située au cœur de l’Europe, entre deux zones plus peuplées (Région Parisienne et Région Lilloise) et sur un territoire très plat et peu militarisé.

 

La carte de France de la pollution lumineuse permet de bien repérer les zones très peuplées (en bleu) des zones moins peuplées (en orange et mauve). Le ‘’Haut de Somme’’ (rectangle jaune) est situé sur une zone tampon entre deux pôles à fortes densités de population.

 

La présence d’une forte densité de parcs éoliens, générant des erreurs d’interprétation des témoignages nocturnes ou des phénomènes inconnus d’ordre électromagnétiques.

 

 

La présence de la méridienne continentale et de la méridienne de Paris traversant le département de la Somme dans la largeur Amiens - Montdidier. A noter qu’en janvier 1980, trois hélicoptères militaires de combat (six témoins) de la base de Margny les Compiègne (actuellement fermée), observèrent le ballet d’une tâche lumineuse orangée dans les premiers jours du mois (du 1 au 6), autour de la base elle-même, puis lors d’une manœuvre à Montdidier : latitude 49.65 et longitude 2.56 soit sur la longitude de la méridienne continentale !!!

 

Pour avancer dans nos hypothèses, nous réitérons donc notre appel à témoin auprès de la population du nord de l’Oise et du sud de la Somme, dans le cadre stricte de l’anonymat et de la vie privée.

 

L’équipe du Geepi. »

 

IV - Question de physique

 

@Pierre Letzkus : J'ai une question d'un ami qui voudrait une réponse claire à ceci :

Quelle est la force qui maintient à distance les électrons de la couche K par rapport au noyau ... (quel que soit sa taille) sachant que les 4 énergies communément décrites :

 

- Interaction forte concernant les composants du noyau

 

- Interaction faible la radioactivité

 

- Interaction magnétique (pôle + et - avec répulsion ou attraction quand ils sont opposés)

 

- Interaction gravitationnelle : attraction réciproque ...!

 

Personnellement, je n'ai pas tenté de m'aventurer dans la moindre ébauche d'explication. Merci pour lui :)

 

@Gilles Lorant : Salut Pierre,

Vite fait, alors, en essayant d’être compréhensible au travers d’exemples standard.

 

A première vue, on serait tenté de dire ‘’la force électrique’’ (regroupée avec la force magnétique depuis Maxwell).

 

Mais, c’est évidement faux (puisque la charge d’un électron et du noyau est inchangée tandis que la distance entre celui-ci et les électrons change d’une orbite à l’autre).

 

C’est la mécanique quantique qui apporte la réponse la plus aboutie, mais elle ne donne pas  de réponse déterministe : il s’agit de probabilités.

 

Il ne peut donc pas s’agir d’une force selon la vision mécanique disons classique.

 

Mais la vision classique marche assez bien dans le cas d’un seul électron, (l’hydrogène et ses dérivés), en se ramenant au modèle planétaire de Bohr.

 

Dans ce cas, çà ressemble aux calculs de gravité, avec la masse remplacée par l’énergie de chaque électron :

 

Les forces découlent de l’énergie (à la place de la masse, ce qui reste cohérent puisque la masse peut s’exprimer sous forme d’énergie : électron de l’ordre de 500 KeV/C²) et du mouvement (en fait le moment cinétique) M²=(k x h)² où h est la constante de Planck « réduite » et k, coefficient.

 

Il s’agit donc d’une force qui intervient de manière mesurable lors de charges électrostatiques (ici en mouvement) : c’est la force de Coulomb !

 

Attention cependant, la loi de Coulomb ne s’applique pas stricto sensu dans le cas de charges en mouvement… c’eut été trop simple.

 

Il faut lui associer les forces de Lorentz et l’on s’aperçoit qu’on obtient alors des forces d’action sans force de… réaction associées (3ème principe de Newton transgressé) !  

 

Et plus il y a d’électrons, plus le résultat s’écarte des mesures (du moins celles qui sont possibles à cette échelle), les moyennes de chaque orbite restent quand même dans l’ordre de grandeur.

 

Mais bon, pour une seule charge, on peut faire de la mécanique classique de chez rustique en connaissant :

 

-          La masse Mp  (1,67 . 10-27) du proton de charge p (1,602 . 10-19),

-          La masse Me (9,1 . 10-31) de l’électron de charge e (-1,602 . 10-19),

-          La distance moyenne R de l’orbite (unique : 5,4 . 10-11)

-          La constante G de Newton ( 6,67 . 10-11)…

 

Alors, on a toujours le bon vieux modèle de Newton qui, adapté,  dit que Fp/e = Fe/p = G * (Mp * Me)/R²

 

Soit, en langage calculette : = 6,67*10-11 * (1,67*10-27 * 9,1*10-31)/(5,4*10-11)² = 3,476*10-47 comme rapport force gravitationnelle / force électrostatique.

 

Pour être plus précis que tout çà, surtout avec plusieurs électrons, qui plus est sur plusieurs orbites, il faut se tourner vers le modèle quantique (qui a l’avantage d’expliquer le « pourquoi du comment » sous jacent).

 

Il s’agit de probabilités de présence (les « fonctions d’onde ») d’une particule selon ses propriétés quantiques (telle que le spin) qui déterminent une orbite optimale correspondant à un niveau d’énergie donné.

 

Reste à estimer l’influence des interactions des électrons entre eux et le noyau, ainsi qu’avec d’autres éventuelles particules ou rayonnements pour modéliser leur comportement... donc connaître les distances auxquelles ils orbitent et quand ainsi que comment, ils changent d’orbite.

 

Ce n’est donc plus d’une force qu’il s’agit, mais d’un champ de forces agissant simultanément.

 

Bref, d’une manière générale, la distance entre électrons et noyau n’est pas tant l’affaire d’une force qu’une affaire d’équilibre des 4 forces fondamentales (électromagnétique, électrofaible, électro-forte et gravitationnelle) internes à l’atome mais aussi environnemental (liaisons de Valence de plusieurs atomes, rayonnements externes stimulant les électrons, etc.) qui impose des orbites.

 

A ma connaissance, il n’est pas possible de privilégier une force ou même d’en identifier une qui serait exclusivement appropriée.

 

Les orbites sont liés aux niveaux d’énergie, eux-mêmes liés directement ou indirectement aux 4 forces fondamentales : toutes ces forces concourent au même équilibre et permettent de calculer de manière plus ou moins directement les fameuses distances (les orbites), comme j’ai voulu le faire comprendre au travers de l’approche électrostatiques, newtonienne et quantique.

 

Il y a encore d’autres raisonnements possibles par les forces nucléaires faibles et fortes, mais là çà devient plus scabreux si on ne fait pas appel au notions quantiques pointues (comme la chromodynamique, bien plus indigeste).

 

Mon idole virtuelle R. Feynman avait bien expliqué cela dans son cours d’électromagnétisme du Caltech, ils ont été repris à Berkeley et édités en bouquin français chez Armand Colin.

 

En attendant de les trouver, voici des sources :   http://www.feynmanlectures.caltech.edu/

 

@Patrice Galacteros : Cette question m'a  fait prendre conscience de  tout ce que j'avais oublié !  Les études d'ingénieur physico - chimiste sont bien loin. Mais j'ai un peu révisé et  je peux dire deux choses :

 

Seules les forces électros - magnétique sont en jeux ici.  La gravité est macroscopique  et extraordinairement faible comparée à l'électromagnétisme. Les autres forces  ne concernent que le noyau.

 

Si les 2 électrons de la couche K , la première couche commune à tous les éléments ne s'effondrent pas sur le noyau ,et c'est une question logique vu que le noyau est  chargé positif et les électrons négatif, donc si ils ne s'effondrent pas, c'est que la mécanique quantique l'interdit.

 

L'énergie des électrons n'est pas continue, elle est quantifiée et l'énergie minimale de l'électron n'est pas nulle, il ne peut pas descendre plus bas, jusqu'au noyau du moins dans les conditions ordinaires. Cela fonctionne comme une force de répulsion.


Dans les étoiles au stade naine blanche  cette barrière est rompue du à la pression gigantesque. Dans les étoiles à neutrons cela va encore plus loin, et l'électron est absorbé par les protons pour former des neutrons. Mais ne me demandez pas comment !

 

@Gilles Lorant : Salut Patrice, çà fait du bien de se dérouiller un peu les neurones de temps à autre, n’est-ce pas ?

 

Mais, chez toi il y a peut-être relativement peu de mérite, parce que visiblement, tu as de beaux restes J.

 

A ce propos, j’espère que tu as remarqué la grossièreté glissée dans ma prose : Fp/e = Fe/p  alors que je dis une ligne au  dessus que les charges ‘e’ et ‘p’ sont de même intensité mais de signe contraire !

 

Bon, il faut dire que j’étais dans la salle d’attente de l’embarquement à Sydney et je voulais terminer le mail avant de partir : un peu trop vite fait.

 

Normalement, on écrit çà en valeur absolue I(Fp/e)I = I(Fe/p)I pour ne parler que de l’intensité ou bien on retire le dénominateur (en multipliant tout par ‘e’) pour faire apparaître le principe de réaction : Fp = - Fe et on ne parle plus de rapport mais de force (en Newton, je n’ai mis aucune unités nulle part, encore une grossièreté en sciences physiques).

 

Je m’étonne tu n’ais pas sauté sur l’occasion de relever un vrai truc vaseux, pour le coup. J’espère que Pierre transmettra ces remarques correctrices à son pote, parce que le résultat est quand même plus propre comme çà.

 

@Jean Claude Venturini : UNE autre idée serait de considérer l'électron comme une onde stationnaire qui boucle sur elle même autour du noyau en fonction de sa longueur d'onde.

 

V - Du nouveau sur les crânes de Paracas

 

@Jean Claude Venturini : Du nouveau semble-t-il : La version de la science officielle ?

 

https://michelduchaine.com/2016/08/26/du-nouveau-sur-les-cranes-de-paracas-la-version-de-la-science-officielle/

 

26 août 2016 par Michel Duchaine :

 

« Retournons  en 2014: les crânes allongés de Paracas au Pérou viennent de  gagner beaucoup d’attention, lorsque comme  préliminaire  les études d’un généticien sur des test d’ ADN  qui démontrent  qu’ils ont l’ADN  d’un type  mitochondrial  particulier  » avec des mutations inconnues pour tout être humain (que ce soit  un primate ou un animal connu à ce jour) « . Cette semaine, un second test  de  l’ ADN des crânes a été achevé et les résultats sont tout aussi fascinants. Les crânes testés, qui remontent à plus de 2000 ans, ont été montrés pour avoir une origine commune  européenne  et du Moyen - Orient réunies. Ces nouveaux résultats surprenants sont en train de changer notre compréhension de la façon dont les Amériques ont été peuplées.

 

 

Les détails sont très visibles : Il est clair que ce ne sont pas des crânes humains.

 

Le désert de la péninsule de Paracas est situé dans la province de Pisco, sur la côte sud du Pérou. En 1928, l’ archéologue péruvien Julio Tello, fait une découverte étonnante: un cimetière massif contenant des tombes remplies avec les restes de personnes  comprenant  les plus grands crânes allongés trouvés partout dans le monde. Ceux – ci sont maintenant  connu comme étant  les «crânes Paracas». Au total, Tello a trouvé plus de 300 de ces crânes allongés, certains remontent  à environ 3000 ans.

 

On dirait un homme néandertalien… géant !

 

Les scientifiques qui les ont étudié, ont  longtemps pensé que la plupart de ces crânes allongés sont le résultat de la déformation crânienne, soit une méthode d’aplatissement de la tête, ou soit la liaison de la tête, dans laquelle le crâne est intentionnellement déformé par application d’une force sur une longue période de temps. Cependant, alors que la déformation crânienne modifie la forme du crâne, il ne modifie pas les autres caractéristiques qui sont les  caractéristiques d’un crâne humain régulier, comme cela est le cas pour les crânes en Paracas. Il ne modifie pas non plus leur ADN.

 

L’auteur et chercheur L A Marzulli décrit comment certains des crânes de Paracas sont différents de crânes humains ordinaires:

 

« Il y a une possibilité que cela aurait pu être la pression du  berceau  serrant la tête dont on se servait pour monter les enfants(…) mais la raison pour laquelle je ne le pense pas c’est  parce que la position du foramen magnum est de retour vers l’arrière du crâne. Un foramen magnum normal serait plus proche de la ligne de la mâchoire… »

 


 

Le musée archéologique de Paracas a récemment permis aux scientifiques de prélever des échantillons de trois des crânes allongés pour faire des tests d’ADN dont un nourrisson. Les sujets seront envoyés aux États Unis pour l’analyse et ces tests seront  dévoilés  plus tard.

 

 


 

 

 

 

 

 

 

Des années de recherches à venir. D’ou viennent-ils? Nous espérons bientôt apprendre comment les anciens habitants de  Paracas ont modifié leur structure osseuse d’une manière qu’aucune autre culture n’a être capable de faire…comme eux. Jusque-là, le mystère demeure.

 

Notes de L.Starr, scientifique (?) : «Je me suis personnellement déplacée au Pérou et ai eu le plaisir d’avoir en mains plusieurs de ces crânes, plusieurs  crânes allongés, ainsi qu’un crâne massif non allongé qui a également été trouvée dans le même tombeau de Paracas. L’un d’eux est le même type de crâne étrange que le fameux crâne Starchild  étudié par le Dr Steven Greer du Disclosure Project, qui a également été testé pour l’ ADN et sur lequel on avait constaté la présence d’un ADN mitochondrial étrange, voire unique au monde. Curieusement, le crâne est beaucoup plus léger que la moyenne parce qu’il est fait d’une substance plus proche de  l’émail des dents que de l’os.

 

Je suis allé voir ces crânes, m’attendant que leur explication soit liée à la déformation crânienne. J’étais absolument étonnée. Après les avoir tenu, et les avoir étudié de près, je suis maintenant convaincu qu’ils n’étaient pas pour ainsi dire normaux comme les humains ‘’terrestres’’. Ils pèsent  trois fois  plus qu’un crâne humain moyen et leurs arcades sourcilières sont beaucoup plus définies. Même le crâne normal, semblant  humain,  se sentait beaucoup plus dense, et pesait le double du poids d’un crâne humain moyen, même si elle était absente, la mâchoire inférieure devait être énorme. Il devait avoir été un être avec l’ADN d’un néandertalien ou un homme de haute taille…un géant, par exemple ! »

 

 

@Gérard Deforge : Je pense que vu ce qui s'est passé en Roumanie, les USA ne sont pas prêts à divulguer quoi que ce soit.

 

Pour ce qui s'est passé en Roumanie, vous lirez avec avidité le livre qui va paraître aux éditions Interkeltia, sur les mystères du Bucégi.

 

@Jean Claude Venturini : Crânes encore : Dans ‘’Les dossiers de Michel Duchaine’’, un crâne ressemblant ‘’extraterrestre’’ découvert au Danemark.

 

14 août 2016

 

 

« On croirait voir le crâne d’un petit gris…

 

Au cours des fouilles Qui furent effectuées  en 2007, sur l’île danoise de Sealand, les enquêteurs ont remarqués que ce crâne est  50% plus grand que la tête humaine et  possède des  cavités énormes dans la zone des yeux.

 

«  L’objet  a été découvert sous une maison il y a environ une centaine d ‘années. Bien qu’il possède de nombreuses similitudes avec les mammifères, certaines caractéristiques sont impossible à classer entre les animaux  suivant la taxonomie linnéenne », ont déclaré les chercheurs au Collège de médecine vétérinaire de Copenhague, qui ont étudié le crâne jusqu’en 2010. En outre, on a estimé que sa structure était « similaire au crâne un étranger.

 

L’Université Niels Bohr a fait une datation au radiocarbone qui a déterminé que le crâne  a environ 800 ans. Les chercheurs ont même affirmé que cette constatation curieuse peut se référer à l’ordre « Pegasus Light », une organisation secrète du XIVe siècle qui comprenait des membres comme William Shakespeare… entre autres!Cette affiliation a été faite suivant une étude des anciens propriétaires de la maison.

 

Voir la vidéo sur ce lien:

 

http://player.theplatform.com/p/XGTzKC/MoQ0hPLqwKCe/select/ZucpRuQVe7Pc

 

VI - En Aveyron, aurait-on dépassé le mur du çon ?

 

 

 

@Myrbel : Dans la Dépêche du Midi des personnes à Albi, Brassac (Est de Castres) donc au sud d'Albi dans le Tarn ont entendu l'explosion. Ce n’est donc pas uniquement dans l'Aveyron. Personnellement à cette heure là, j'étais à Carmaux et je n'ai pas entendu l'explosion mais il semble que certains l'ont entendu.

 

@Georges Metz : Confidentiel : De notre ami XX, par téléphone. Se trouvant dans une rue des environs de Rodez. A entendu et levant la tête, a eu le temps de voir l'avion virer avec " autre chose de long" s'éloigner à plus grande vitesse. Un rapport circonstancié est un cours. A suivre...

 

@Gwionix : Comme chaque mois d'août, il y a des manoeuvres inter Armes au camp de Canjuers près du Larzac. On dit aussi par téléphone arabe qu'un missile sol/sol serait devenu incontrôlable. De là à foutre la panique et si c'est vrai il n'y a qu'un pas !

 

@XX : Voici l'observation que j'ai faite immédiatement après la détonation qui s'est produite le lundi 22 août  à 13 heures 30. Je me trouvais donc à cette heure la à la Primaube, à pied, dans l'avenue principale, je marchais vers la banque lorsque une détonation assez forte s'est produite ? Aussitôt j'ai levé les yeux presque à la verticale et j'ai vu le tracé d'un avions se dirigeant direction Toulouse, le tracé indiquait qu'il avait fait une courbe vers sa gauche puis avait repris sa direction "Toulouse". En même temps j'ai vu arriver venant de la direction Rieupeyroux un engin sans ailes, allongé, noir, filant à grande vitesse et qui a effectué la trajectoire indiquée sur le croquis. L’ensemble a duré à peu prés 5 secondes. Tous les oiseaux étaient sortis de leur nid ou des arbres, car de suite après le ciel de la Primaube en était rempli, et volaient en désordre, mais vu le bruit ils avaient eu peur.

 

Le matin même  entre 8h50 et 9 heures en revenant de Pont-de-salars à Flavin mon attention a été attirée  par un engin semblable  débouchant du coté de la Lune, à grande vitesse filant vers la direction de Montpellier.

 

@Gérard Deforge : Merci XX pour ces détails, plus précis qu'initialement. Deux anomalies si rapprochées dans le même ciel, cela fait beaucoup. Deux erreurs de tirs si rapprochées, ça fait beaucoup. Des "cigares" dénués d'ailettes de contrôle de l'orientation du missile, c'est étrange. Habituellement, les engins d'origine exotique ne provoquent pas de bang sonique, et l'on sait à peu près pourquoi, malgré leur vitesse très élevée. Le bang sonique de l'avion de chasse peut s'expliquer par la brutale accélération qu'il a peut-être opérée pour suivre l'intrus, en enfreignant ainsi sur ordre le code de sécurité qui interdit ces bangs au-dessus des zones habitées. Mais évidemment, je réagis spontanément et suis peut-être dans l'erreur dans mes interprétations.

 

@Gwionix : Penser aux manoeuvres et exercices inter armes. Elles ont lieu en ce moment  (Essais de tirs aériens sur cibles expédiées par exemple d'une unité navale ou d'un pas de tir terrestre) avant de penser à autre chose quand on a entendu une détonation. A Mailly le Camp et à Sissonne,  lors d'exercices,  c'est journalier ! D'autant plus si il y a eu virage de l'avion, c'est peut être lui qui était visé par un missile d’entraînement ?

 

Hasard à l’instant de la détonation ? Aux dernières nouvelles : à Albi, des connaissances de voisinage travaillent à Toulouse - Rangueil aux services de l'Observatoire. Ils disent quoique peu probable dans notre cas, mais possible, actuellement des mouvements de plaques tectoniques s'effectuent dans les Pyrénées. (Plaque africaine qui pousse l'ibériques qui pousse l'eurasienne)

 

Des détonations de "collision" peuvent s'entendre par ondes sismiques à des kilomètres de distance et seulement à des endroits déterminés, mystère de transmission d'ondes, d’autant plus les tremblements de terre actuels en Italie Le suivi peut être fait sur le réseau : rssp.irap.omp.eu

 

@Georges Metz : Bonjour Jacky (Kozan),

Voici le dossier bouclé pour diffusion générale Académie (Ufologie), presse Ufo et médias, avec appel à témoins visuels dans le ciel. Maintien de l’anonymat de XX que nous connaissons.

 

« Bang supersonique avion et ovni type "cigare"

 

Rodez (Aveyron) – 22 août 2016

 

Un double bang supersonique a secoué l'Aveyron et les départements limitrophes. La presse régionale a fait état de l'émoi des populations inquiétées par la déflagration. Un témoin exceptionnel a eu la chance de se trouver dehors pour regarder le ciel.

 

"Voici l'observation que j'ai faite immédiatement après la détonation qui s'est produite le lundi 22 août à 13 heures 30. Je me trouvais donc à cette heure-là à La Primaube, à pied, dans l'avenue principale, je marchais vers la banque lorsqu'une détonation assez forte s'est produite ? Aussitôt j'ai levé les yeux presque à la verticale et j'ai vu le tracé d'un avions se dirigeant direction Toulouse, le tracé indiquait qu'il avait fait une courbe vers sa gauche puis avait repris sa direction "Toulouse" en même temps j'ai vu arriver venant de la direction de Rieuperoux, un engin sans ailes, allongé, noir, filant à grande vitesse et qui a effectué la trajectoire indiquée sur le croquis. L'ensemble a duré à peu près 5 secondes…Tous les oiseaux étaient sortis de leur nid ou des arbres, car de suite après, le ciel de La Primaube en était rempli, et volaient en désordre, mais vu le bruit ils avaient eu peur.

 

Le matin même entre 8 heures 50 et 9 heures en revenant de Pont-de-Salars à Flavin, mon attention a été attirée par un engin semblable débouchant du côté de la lune, à grande vitesse, filant vers la direction de Montpellier"

 

L'hypothèse privilégiée est celle est celle d'un avion chasse sorti à la rencontre d'un "trafic" non identifé avec évitement réciproque de l'intrus sur notre territoire national.

 

L'enquêteur: G.Metz – août 2016 »

 

@Académie Ufologie Coordination : Merci Georges,

 

- diffusé dans l'Académie aux membres d'expression française,

- mis en page d’accueil du site "Académie d'Ufologie"

- mis dans nos "articles récents".

 

Amicalement, Jacky

 

@Gwionix : Des manoeuvres aériennes inter armes amènent à n'importe quoi. Je ne m'excuse pas de dire cela, ça serait une preuve de faiblesse, mais faut pas pousser Mémé dans les orties. Ou alors apporter de sérieuses preuves...

 

Ma réponse à "... dossier bouclé pour diffusion générale Académie, presse Ufo et médias, avec appel à témoins visuels dans le ciel..." n'est pas un caprice de notoriété. Mais je tiens à rappeler qu'à l'époque au mois d'août 2012, des fait semblables avaient été observés en Tarn et Aveyron comme toute manoeuvre annuelle par ailleurs. J'en avais signalé un au Groupe. Il n'en avait pas été fait grand cas.

 

Je tiens à signaler que j'ai effectué une enquête à ce sujet auprès des autorités et de personnes autorisée de l'Armée puisque je suis... sur place ! Et contacté le rédacteur qui a effectué son enquête les fesses collées à son fauteuil… Il va donc sans dire que l’ensemble de ces autorités même si elles connaissaient la raison du sujet, elles sont restées muettes !

 

De là à en faire un dossier mis en place publique de la façon dont celui-ci a été rédigé portons nous dans une cinquantaine d'années ou un Pékin pourra lire qu'un aéronef de chasse a poursuivi un engin indéterminé et non identifié portant alors à croire qu'avouons le, il s'agissait sûrement d'un OVNI ! Or, rien n'a été prouvé, ni par les uns, ni par les autres, ufologues enquêteur ou autorités.

 

@Gilles Lorant : Heu… ce n’est pas parce que je ne réponds pas que je fais peu de cas d’une info… ne suis-je déjà pas assez bavard comme çà ? J

 

Ceci dit, ta question concernant le lègue à la postérité est parfaitement pertinente à mon avis. Tu sais que j’ai une manière toute personnelle, pour ne pas dire intime, d’aborder le phénomène (quand c’est lui qui ne m’aborde pas, parce que je vis très bien sans). Alors, je peux te dire que la littérature historique sur le sujet est pleine, mais vraiment pleine, de conneries de ce genre, sans parler des inventions délibérées… et du « inter pas net » contemporain. Mais, là, je vais encore me faire des inimitiés supplémentaires, alors j’arrête, d’autant que ton mail ne s’adresse pas à moi.

 

Ah, oui, j’oubliais : J’aime bien ton franc parler et ta rigueur !

 

VII – Le bonjour de Denise, l’enfant des Etoiles et de MyrBel, en Aveyron

 

 

Enfants des étoiles...Denise raconte les débuts de sa très étrange vie. Des étrangetés toujours actuelles, comme c'est le cas pour tous "les grands contactés"....et avertissement "de dangers atomique", renouvelés. Pour en savoir plus, vidéo réalisée et interview fin Août 2014 par Gérard Deforge : https://www.youtube.com/watch?v=c5Ms3fblBFI

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

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Date de dernière mise à jour : 11/11/2016