N° 27 - Conflit de Canard en Aveyron - 8 septembre 2016

 

 

 

 

 

 

Denise ou l’Enfant des Etoiles

 

La Gazette de l’Ufo

 

 

Conflit de « Canard » en Aveyron

 

Numéro 27 du jeudi 8 septembre 2016

 

Gwion Coat ar Roc’h

 

 

 

 

I – Vers le premier satellite de communications « quantique » ?

 

@Michel Turco : D’après le « Figaro » du 16 août 2016.

 

La Chine a effectué aujourd'hui le premier lancement mondial d'un satellite à communication quantique, a annoncé un média d'Etat, une percée technologique pour Pékin, qui ambitionne par ce biais d'édifier un système inviolable de communications cryptées.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/08/16/97001-20160816FILWWW00071-la-chine-lance-un-satellite-quantique-une-premiere-mondiale.php

 

« La Chine aurait effectué aujourd'hui le premier lancement mondial d'un satellite à communication quantique, a annoncé un média d'Etat, une percée technologique pour Pékin, qui ambitionne par ce biais d'édifier un système inviolable de communications cryptées.


Le lancement aurait été effectué dans le désert de Gobi (nord), aurait annoncé l'agence officielle Chine nouvelle, et interviendrait à l'heure où les Etats-Unis, le Japon et d'autres nations souhaiteraient elles aussi s'imposer dans cette technologie en plein essor. Le satellite, serait nommé Mozi en l'honneur d'un philosophe chinois du 5e siècle avant J.-C. ; il serait utilisé pour démontrer l'intérêt de la technologie quantique dans les communications longue distance.

 

La Chine a investi d'énormes ressources financières dans ce marathon technologique, l'un des nombreux investissements de Pékin dans la recherche scientifique de pointe, de l'exploitation minière des astéroïdes aux manipulations génétiques.

 

A la différence des méthodes classiques de transmission sécurisée, le système utiliserait des photons (une "particule fondamentale" du champ électromagnétique) pour envoyer les clés de cryptage nécessaires au décodage de l'information. Les données contenues dans ces photons seraient impossibles à intercepter: toute tentative d'espionnage provoquerait leur autodestruction, affirmerait Chine nouvelle. »

 

@Pierre Letzkus : Joli... un satellite qui crypte quantiquement les données "on-line"... de mon point de vue, ça n'a rien d'excitant.

 

En effet, si je comprends bien, on envoie les données au satellite, il les crypte au moyen d'une clef quantique (photon) et retransmet le signal "ailleurs" sur terre.

 

Le récepteur devra disposer d'un moyen de décryptage (rudimentaire, pas la peine d'être un ordinateur quantique pour cela). Jusque là, rien de "terrible", sinon la complexité de la clef de cryptage.

 

Par contre, l'émission de données depuis la terre vers le satellite n'est pas cryptée quantiquement !

 

C'est donc tout le système de transmission en amont qui reste "hackable".

 

Bref, je ne vois pas l'intérêt, sinon pour la chine de montrer qu'ils maîtrisent la technologie quantique et le positionnement satellitaire (qui à ce sujet est un vrai merdier depuis l'arrivée de la chine dans l'espace car ils ne respectent rien quand au positionnement et corrections des satellites. Résultat, les équipes européennes et US en charge de  la gestion des satellites doivent constamment composer avec le "je-m'en-foutisme" chinois).

 

@Michel Turco : Lorsque j'ai pris connaissance de cette information, passée la surprise, des questions me sont venues à l'esprit :

 

Par exemple, pour moi une liaison d'informations quantiques inclue l'intrication quantique. A moins qu'on ait trouvé une alternative mais j'ai un doute.

S'il s'agit d'une application de l'intrication quantique, jusqu'à ce jour, à ma connaissance, personne n'a encore atteint ce stade de la communication en dehors de l'expérience de laboratoire sur de courtes distances.

 

Le matériel utilisé est lourd et encombrant donc non satellisable.

 

C'est d'une très grande complexité. La manipulation des électrons intriqués pour communiquer, pose des problèmes dont le plus important est la mesure parce qu'il n'y a aucun moyen de savoir dans quel état se trouvent les électrons.

 

Pour un électron, on a 50% de chance de tomber sur un spin « up » et 50% de chance de tomber sur un spin « down ». Et aussi, en effectuant une mesure sur la première particule, on finit par déranger les deux en même temps puisqu'ils forment un système unique non local. Il y a un autre problème à résoudre: celui de la cohérence. Parce que si on oblige une particule intriquée à se mettre dans un état bien défini, l'intrication disparaît.

 

En supposant qu'on ait réussi à franchir ces difficultés, il reste à concevoir la technologie miniaturisée pour l'installer à bord d'un satellite.

 

Ce n'est pas gagné ! J'ai vraiment un gros doute sur cette réalisation chinoise.

 

Mais comme il faut toujours se méfier des chinoiseries, qui sait ? ;-)

 

J'ai oublié de préciser que je parle de communication quantique et pas de cryptage quantique qui peut être associé à un système de transmission des données classique.

 

En réagissant à cette information, je me suis un peu égaré !

 

(A vrai dire, à dire vrai, il a été lancé le tout premier satellite à communication quantique devrant peut être ouvrir la voie à un futur système de télécommunications devant être ultra sécurisé sans faille. Mais !

 

A la différence des méthodes classiques, le système qui ‘’s’inspire’’ de la mécanique quantique utilise des photons constituant la lumière pour transférer l’information instantanément et de façon qui ‘’serait totalement sure’’ ; la technologie s’appuierait sur le fait qu’un photon ne peut être intercepté, mesuré ou même observé sans être altéré. Les données contenues dans les photons seraient impossibles à détourner. L’efficacité de cette technologie n’a été jusqu’à maintenant prouvée pour la transmission de messages que sur de courtes distances, le maximum avoisinerait les 300 kilomètres.

 

Le satellite émetteur devrait être orienté de façon extrêmement précise vers les stations réceptrice dont l’image serait comme « lancer une pièce de monnaie d’un aéronef volant à 100 kilomètres d’altitude et espérer qu’elle vienne se ficher exactement dans la fente d’une tirelire de type cochon en porcelaine en rotation » (Tiré de l’excellent reportage de Fleur Olagnier de ‘’La Dépêche du Midi’’. GC)

 

@Jean Claude Venturini : Ce qui est sûr c'est que cela demande beaucoup plus d'information ! Mais c'est Crypté même à ce stade ;-))))

 

@Gilles Lorant : Des remarques en vert dans le texte…

 

Lorsque j'ai pris connaissance de cette information, passée la surprise, des questions me sont venues à l'esprit. Par exemple, pour moi une liaison d'informations quantiques inclue l'intrication quantique.

 

Çà c’est un des aspects sensationnels, mais il y a plein de phénomènes plus ou moins déjà connus avant le développement de la mécanique quantique qui sont repris par elle sous un angle différent… sans pour autant fournir matière à rêver.

 

L’intrication n’est donc qu’un aspect qui peut très bien ne pas être au centre d’un problème donné : la liaison d’informations par exemple s’appuie beaucoup sur les propriétés quantiques de la lumière (développement de fibres optiques de plus en plus performantes) sans faire appel à l’intrication.

 

Alors que l’effet « tunnel » des fonctions Josephson, lui, a besoin d’en tenir compte.

 

A moins qu'on ait trouvé une alternative mais j'ai un doute.

S'il s'agit d'une application de l'intrication quantique, jusqu'à ce jour, à ma connaissance, personne n'a encore atteint ce stade de la communication en dehors de l'expérience de laboratoire sur de courtes distances.

 

Non, en effet.

 

Il y a bien eut, au début des années 2 000 je crois, une tentative de procédé anti piratage des Cd et/ou DVD basé sur un cryptage quantique mais il n’y a pas eu de suite après les annonces tonitruantes de la presse.

 

C’est Alain Aspect, un français, qui avait précédemment donné une piste théorique de faisabilité grâce à ses travaux concernant le paradoxe EPR (démontrant par  là que Einstein avait tort).

 

Alors, les recherches pratiques continuent, en vain pour l’instant… à moins que dans la zone 51…

 

Le matériel utilisé est lourd et encombrant donc non satellisable. Et pour cause, c’est encore au niveau des labos.

 

C'est d'une très grande complexité. La manipulation des électrons intriqués pour communiquer, pose des problèmes dont le plus important est la mesure  parce qu'il n'y a aucun moyen de savoir dans quel état se trouvent les électrons.

 

Si, mais à condition de les annihiler… sic !

 

Alors, il faut trouver le moyen de les dupliquer (créer des jumeaux strictement identiques) juste avant qui, eux, transmettent une info… fausse.

 

Or « fausse » veut dire « inverse » dans le cas où il n’y a que deux possibilités d’état : on sait alors interpréter l’info correctement.

 

Un des rares trucs qui soit candidat au niveau des leptons de la famille des fermions (cas de l’électron) est le Spin.

 

Et c’est intéressant parce qu’alors, il n’est pas nécessaire de créer un jumeau mais seulement un lepton de même spin qui peut être détruit par la mesure illico tandis que l’électron « frère » se promène.

 

Bref, c’est très complexe.

 

Pour un électron, on a 50% de chance de tomber sur un spin « up » et 50% de chance de tomber sur un spin « down ». Et aussi, en effectuant une mesure sur la première particule, on finit par déranger les deux en même temps puisqu'ils  forment un système unique non local. Il y a un autre problème à résoudre: celui de la cohérence. Parce que si on oblige une particule intriquée à se mettre dans un état bien défini, l'intrication disparaît.

 

En supposant qu'on ait réussi à franchir ces difficultés, il reste à concevoir la technologie miniaturisée pour l'installer à bord d'un satellite.

 

Ce n'est pas gagné ! J'ai vraiment un gros doute sur cette réalisation chinoise.

 

Le gouvernement chinois traîne des complexes et il a besoin de se montrer en haut de tous les podiums pour asseoir sa revendication de grande puissance, en interne comme en externe de la Chine.

 

Et à mon avis, plus il y aura là-bas de problèmes socioéconomiques, pire se sera.

Oui, eux sont capables de faire demain un faux film de débarquement sur Mars par… téléportation quantique.

 

Mais comme il faut toujours se méfier des chinoiseries, qui sait ? ;-)

 

II – Haplo groupes - Stockage en ADN de synthèse

 

@Michel Turco : Pour les personnes intéressées par la généalogie, voici des informations sur les haplo groupes qui peuvent apporter un plus :

 

http://www.eupedia.com/europe/origines_haplogroupes_europe.shtml

Attention: Les haplo groupes ne servent pas à déterminer le patrimoine biologique et encore moins l’ethnicité d’une personne, mais sont un outil qui permet de tracer les migrations anciennes ancestrales.

 

« Des études sur l'ADN ont permis de catégoriser tous les êtres humains sur Terre en une série de groupes généalogiques descendants d'un ancêtre commun à un moment de la préhistoire. On appelle ces catégories des « haplo groupes ». Il y a deux sortes d'haplo groupes : les haplo groupes définissant le chromosome Y (Y-ADN) hérité de père en fils, et ceux de l'ADN mitochondrial (ADN mt), toujours hérité par la mère. Le premier renseigne donc sur les ancêtres de la lignée agnatique (ou patrilinéaire), et la seconde sur la lignée cognatique (or matrilinéaire).

 

Les haplo groupes Y-ADN sont également utiles pour déterminer si deux individus apparemment non apparentés mais portant le même nom de famille descendent bel et bien d'un même ancêtre dans un passé pas trop lointain (3 à 20 générations). Pour le savoir, on compare les haplo types des marqueurs STR. Les tests de SNP quand à eux permettent de retracer ses origines ancestrales beaucoup plus lointaines, et d'identifier le groupe ethnique antique auquel nos ancêtres appartenaient (par exemple celtique, germanique, slave, gréco-romain, basque, ibérien, phoenicien, juif, etc.).

 

En Europe, les haplo groupes ADN mt sont répartis de manière relativement homogène sur le continent, et par conséquent ne peuvent pas être associés avec un groupe ethnique de l'Antiquité.

 

Cependant, ils peuvent parfois révéler certains problèmes de santé potentielles (voir maladies associées avec des mutations de l'ADN mitochondrial et certains sous-groupes ADN mt sont associés avec une même ascendance d'origine.»

 

 

(Intéressant en matière de recherche ethnologique et archéologiques, non ? D’autant plus que tout mène à la recherche de solutions pouvant déborder et rendre service à d’autres problématiques.

 

Comme exemple,  l’industrie du cinéma est confronté à ceci : comment conserver des contenus de films une ou plusieurs fois visionnés par des spectateurs et n’étant plus à la mode ? Conservation sur pellicules, DVD, disques durs ? Les supports existants n’offrent que des solutions peu satisfaisantes en terme de durée de vie, d’obsolescence des technologies et d’infrastructure de stockage. Il en résulte que de nombreux excellents films produits ont disparus ou ont vu pour d’autres leur qualité se détériorer, d’où des recherches pour trouver une meilleure alternative.

 

On a eu recours à l’ADN de synthèse. Par définition l’ADN est le support de l’information génétique, pourquoi ne s’en être pas être inspiré pour stocker des contenus préalablement séquencés et numérisés, transformer des lignes de codes en des séries constituant des petits bouts de chaînes obtenant plusieurs millions/milliards de brins microscopiques d’informations pouvant être restituées ?

 

Solution extravagante cette technique vient de faire ses preuves certes coûteuses et complexes à mettre en œuvre mais méthode viable. C’est quasiment fait pour un stockage quasiment universel ou la Mémoire de l’Humanité dans un ‘’bidule’’ pas plus gros qu’un sou capable de stocker 360 To pendant 13,8 milliards d’années.

 

Mémoire de l’Humanité ou autre, bien entendu. Extraits de ‘’Paris Match’’ GC)

 

III Communication du GEEPI - Appel à témoins

 

@GEEPI : « C’est de nouveau dans le secteur du ‘’Haut de Somme’’ que le phénomène ovni a été signalé. Déjà en 2015, le GEEPI avait pu rencontrer un habitant de Montdidier qui avait, à l’occasion de promenades, vu passer par deux fois de petites sphères au-dessus du parc éolien situé à l’est de la ville.

 

Nous avions aussi rencontré un témoin du village de Royaucourt dans l’Oise, situé à la limite de Montdidier. Une enquête qui nous avait démontrée l’interaction forte entre la conscience du témoin et le phénomène.

 

Cette véritable vague ovni avait gagnée en ampleur en 2014-2015 avec, en trame de fond, les survols d’étranges ‘’drones’’ au-dessus des centrales nucléaires du territoire national.

 

En cette année 2016, c’est donc dans la nuit du 18 au 19 juillet, sur une ligne orientée sud-est/nord-ouest et  allant de Ham à Amiens, que des phénomènes lumineux sont apparus à des dizaines d’habitants du département de la Somme. Selon le Courrier Picard, le phénomène nocturne aurait commencé à 23h30 et se serait fini vers 1h00 du matin. Quand certains décrivaient des points lumineux blancs, d’autres parlaient de points en formation ‘’triangulaire’’.