N° 28 - Parlons d'Ufologie. . . jeudi 22 septembre 2016

 

 

 

 

 

 

 

 

« La quatrième nuit » World in Progress Films

 

La Gazette de l’Ufo

 

 

Parlons d’ufologie…

 

Numéro 28 du jeudi 22 septembre 2016

 

Gwion Coat ar Roc’h

 

 

 

 

 

I - Attendez vous à savoir, ou parlons d’Ufologie…

 

... ou plutôt parlons de phénomènes bizarres, aériens ou non puisqu’il s’agit parfois d’observer au ras d’un gazon sans lever le nez ou au travers de végétaux, identifiés ou non ; ça n’est pas camper dans des hypothétiques idées très personnelles comme l’envisagent généralement tous ceux qui rêvent et parlent haut et fort, ou écrivent leurs vérités disertes pour mieux cacher leur frilosité en la matière au risque de tout étouffer et lasser tout un chacun !

 

Ce qui risque de diviser ou divise même devrait au contraire rassembler les valeurs qui fondent et qu’il faudrait porter, à replacer au cœur du débat intimement liées qui dépasse l’idée qu’en font certains. Nous avons les mêmes valeurs, l’importance du droit, la solidarité, le partage. Ce ne sont pas des vains mots loin des polémiques qui saturent l’espace médiatique dont nous devons ‘’rallumer les étoiles’’ et faire pari d’intelligence en jetant les bases d’un nouveau Monde sur les places publiques ! C’est un bien commun.

 

Ça n’est pas faire injure mais mettre en garde contre un extrémisme à la mode des biens pensants et des sectaires dans les gènes de ces certains, agaçant pour les communs des mortels Ufo’s. Esquivons donc les coups bas, c’est ardant et militant plus que tout autre et serrons nous autour de l’essentiel au lieu d’arguties d’un autre temps !

 

Ceci serait une autre idée non pas forcément ufologique mais de phénomènes bizarres « réels » conséquences de nos enquêtes et de nos études… sérieuses, voie étroite de la raison, de quoi être habillé chaudement l’hiver et à titre d’apéritif !

 

Dessiner un avenir, répondre à des besoins et aux attentes et réécrire ensemble des mots non libéraux qui conduisent à un dépeçage de l’information Ufo.

Et comme suite au « Conflit de Canard » en Aveyron à lire sur le numéro 27 précédent de La Gazette, il n’y a eu aucune détonation, un simple grondement et légère secousse, aucun chasseur bombardier ni cigare volant, les lois actuelles interdisant… de consommer du tabac en le fumant dans les lieux publics surtout en aérien… Qu’on se le dise ! GC.

 

II - Les sons de l’Univers ?

 

 

@Marc Bethmont : Je voulais vous demander si quelqu'un a déjà entendu parler de certains son, vraiment fort,  qui se produise dans le ciel, pendant un long moment, cela ressemble à ces sons que j'ai entendu avec l'équipe du col de Vence sur la route vers un certain endroit non loin de Coursegoule ?

 

@Gilles Lorant : Oui, entendu moi-même au Costa Rica et dans les pays du Golfe Persique, je vous avais fait des mails à ce propos, je crois que tu n’avais pas encore quitté le Groupe à l’époque… çà date un peu. Çà remplie toute l’atmosphère comme un son d’orgue géant, c’est impressionnant et on ne s’y attend jamais.

 

Exemplaires sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=9OxtTumFcxk

C’est de ces sons là dont tu veux parler ?

 

@Marc Bethmont : Pour répondre Gilles, je viens de vivre pendant environ  une heure a Golf Juan au mois de juillet ce genre de son avec une  résonance profonde.

 

III - Nuages bizarres ou bizarres nuages ?

 

@Michel Turco : Pour vos archives. Cette photo (authentique) je l'ai récupérée dans un dossier que j'avais reçu de l'ONU.

 

@Jean Claude Venturini : As-tu des informations précises concernant cette photo. Ce peut être un phénomène purement météorologique peu fréquent ?

 

@Michel Turco : Dès que j'aurai un moment, je sortirai le dossier (qui est quelque part dans mes affaires au sous sol et vous donnerai toutes les infos qui y figurent. Mais je me souviens qu'il y avait eu un débat à propos de ce phénomène qui n'avait rien de naturel. On avait supposé, à l'époque, un système de camouflage et d'autres disant qu'il s'agissait de la condensation de l'humidité dans les champs de forces de l'objet. Je pense que l'un permet l'autre. En tout cas, il n'y a pas eu d'autre exemple semblable depuis. C'est unique.

 

@Michel Turco : Après recherches, cette photo a été tirée du compte rendu analytique de la 47ème séance tenue le vendredi 8 décembre 1978 à 11 h 30 aux Nations Unies. L'ordre du jour était le Point 126 qui concernait la création d'un organisme ou d'un département de l'ONU chargé d'entreprendre et de coordonner des recherches sur les OVNI et les phénomènes connexes (Président de séance: M. PIZA-ESCALANTE du Costa Rica). Le détail sur l'observation qui a conduit à cette photo :

« C'est au cours d'un vol que la technicienne en météorologie, Elizabeth Klarer, a pu prendre cette photo le 7 juillet 1956 dans le ciel du lieu-dit Cathkin (Natal) en Union Sud Africaine.
Tout d'abord, il y avait un objet en forme de disque dans le ciel. Ce dernier a alors généré un nuage blanc de vapeur qui l'a entièrement recouvert donnant l'impression qu'il voulait dissimuler sa vraie nature. Cet exemple de ‘’camouflage’’, est l’un des meilleurs systèmes pour passer inaperçu dans une formation de nuages. L’être humain n’étant pas étonné par la présence de nuages dans le ciel, puisqu'ils sont inhérents à son habitat, il ne peut pas se rendre compte qu'on l'observe discrètement. »

 

C'est tout ce que je possède comme information sur cette photo.

 

@Jean Claude Venturini : Alors oui, cette photo est un document historique Important… tu devais la communiquer à l'Académie d'Ufologie avec ton texte. (Sic)

 

@Michel Turco : Ok ! Je transmets à l'académie d'Ufologie. (Hé hé)

 

@Gérard Deforge : Bonsoir à tous: ce genre de nuage(s) a effrayé les populations de Sibérie, et un mois auparavant, celles de Phoenix. Les autorités ont certifié qu'il s'agissait d'un phénomène naturel. Je suis très sceptique. Mais nous ne pouvons qu'être étonnés et interrogatifs, devant le développement de tels "prodiges"....

 

@Gilles Lorant : Il me faudrait être un peu plus qualifié que je ne le suis pour répondre de manière sure, mais s’agissant d’un phénomène disons aéronautique, j’ai reçu quelques petites formations sur le sujet.

 

En effet, cela me parait à première vue naturel !

 

Il s’agit selon moi tout simplement d’un courant de convection engendré par une journée chaude (sol et air au ras du sol chauds) qui subit un soudain refroidissement : air froid en altitude avec une forte baisse de pression.

 

Alors, il se crée un tunnel d’aspiration vers le haut à cause de la dépression locale.

 

Au fur et à mesure que l’air chaud aspiré remonte, il se refroidi au contact de l’air froid en altitude et il y a condensation en même temps que dissipation. D’où la forme de champignon de l’ensemble.

 

Il s’agit de mécanique des fluides et ce sont des mécanismes du même genre qui créent les champignons lors de très fort dégagement de chaleur locale relativement proche du sol : par exemple, c’est le cas avec de très puissantes bombes (pas forcément nucléaires).

 

La véritable question, selon moi, devrait être « mais pourquoi donc y a t-il ce phénomène météorologique aujourd’hui alors qu’on ne l’observait pas avant, du moins avec une telle intensité ? »

 

@Gérard Deforge : J'ai parfaitement identifié d'emblée cette possible explication, mon cher Gilles, même si je n'ai pas   ton cursus universitaire. Mais je m'intéresse à la météorologie, à l'astronomie et au reste, comme tu le sais, depuis suffisamment longtemps pour être averti de ce genre de possibilité. Donc ce qui interpelle, dans ce genre de document, c'est le gigantisme du phénomène, sa localisation dans différents points du globe en des temps rapprochés, et l'effroi des populations, qui, manifestement, ne sont pas familiarisées avec ce genre de phénomène. Pourtant, il est connu par exemple que la région de Phoenix, la ville la plus chaude des Etats Unis, est coutumière de phénomènes météorologiques très...variés et ...originaux... Quant à la Sibérie, c'est aussi un beau terrain de jeu des forces naturelles. Sinon, donc, je suis évidemment en accord avec ton analyse. Mais quand même....!

 

@Gilles Lorant : Il ne faut jamais oublier, mon cher Gérard, que l’échelle des phénomènes naturels est bien au-delà de celle des phénomènes humains.

 

L’ordre de grandeur du rapport des forces naturelles par rapport à celles de nos activités humaines est de plusieurs milliers !

 

Par exemple, il n’est pas rare qu’un cumulonimbus en région tropicale couvre l’équivalent de plusieurs départements français et son énergie potentielle équivaut à plusieurs bombes atomiques.

Très impressionnant vu d’avion, tu peux me croire.

 

 

Par contre, ce qui est nouveau, ce sont les manifestations telles que celles dont tu parles dans des régions où elles n’avaient jusqu’ici pas lieu, en tout cas à cette échelle. Cela tend à confirmer qu’il y a vraiment des changements en train de s’opérer dans les mécanismes du climat. Mais, en ce qui concerne les impressionnants champignons que tu montres en photos, il serait quand même préférable de demander à quelqu’un plus calé que moi en météo et climat.

 

IV - On a retrouvé Philae

 

@Jean Claude Venturini : http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/Rosetta/Philae_found

 

 

 

@Esa : « L’Agence Spatiale Européenne (Esa) a publié ce lundi 5 septembre une image du petit robot Philae à la surface de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko alias Tchouri. Elle a été prise par la caméra Osiris de la sonde Rosetta à seulement 2,7 km d’altitude, le 2 septembre dernier (moins d’un mois avant son atterrissage final). On y distingue l’engin bloqué au fond d’une cavité.

 

Comme le souligne Francis Rocard, responsable des programmes d'exploration du Système solaire au Cnes, « … c’est une excellente nouvelle qu’on n'espérait plus car l’Agence spatiale européenne rechignait à descendre si bas ». Philae a été trouvé à l’endroit prédit par Philippe Lamy (Laboratoire d’astrophysique de Marseille) il y a un an, une hypothèse « que le Cnes avait confortée avec ses analyses ». Un petit cocorico à souligner alors que l’Agence spatiale européenne avait trouvé 4 ou 5 Philae possibles.

 

Le Cnes avait commencé à travailler à la reconstitution de la position et de l’orientation réelles de Philae sur la comète dès son atterrissage mouvementé, le 12 novembre 2014. Une tâche d’autant plus difficile que le robot, après une descente nominale vers le site choisi, a parcouru, en rebondissant deux fois, plus d’un kilomètre avant de s’arrêter.

 

 

La localisation de Philae à partir des données des instruments Consert et Romap et de l’ensoleillement des panneaux avait été un travail assez important réalisé par les équipes du Cnes du Centre de contrôle de la mission, le SONC basé à Toulouse. En effet, les calculs effectués par les équipes scientifiques des instruments Consert et Romap, à partir des mesures de leur instrument embarqué sur le robot, et ceux fournis par les ingénieurs du Centre d’études spatiales, qui ont étudié la compatibilité des positions envisagées avec les conditions d’éclairement et de visibilité lors des trois jours de fonctionnement de Philae sur le noyau cométaire, ont permis de déterminer très rapidement une zone et une orientation très probables.

 

C’est à l’intérieur de celle-ci, il y a plus d’un an, que l’équipe du Laboratoire d’astrophysique de Marseille (LAM : CNRS et Aix-Marseille Université) a repéré à la surface de la comète une tache lumineuse présente seulement sur les images Osiris prises après l’atterrissage. Une simulation des images fournies par la caméra Civa, embarquée sur Philae, et par des outils graphiques du Cnes, a fini de confirmer avec précision cette orientation et cette position. Il ne restait plus alors qu’à avoir une image détaillée de Philae prise par Rosetta.

 

@Futura Science :

 

http://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/astronautique-incroyable-rosetta-retrouve-philae-64174/

V - Une ‘’vérité’’ sur les Annunakis supposés de la planète Nibiru

 

@Jean Claude Venturini : Une approche des géants du passé ?

 

https://www.youtube.com/watch?v=5k0LF2niC1Y

 

« Les temples consacrés à ces dieux ne sont pas décrit comme des lieux de culte mais des résidences temporaires où les Annunaki venaient séjourner. Les sumériens venaient leur demander conseil, voire même un jugement en cas de litige entre cités ou personnes. Ce sont eux encore qui nommaient les chefs ayant un pouvoir législatif et exécutif en leur nom. Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que "EA", Prince de la terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda la "Confrérie du Serpent".

 

Les Annunaki participaient à l'enrichissement culturels par l'apport de techniques essentiellement agraires (semences, irrigations, aménagements du sol,…), de connaissances astronomiques (position de la ceinture d'astéroïdes qui n'est pas visible,…) ou de nouveaux termes destinés à décrire des objets, des lieux et parfois des concepts. Il existe un lien fort entre l'existence d'une mythologie et la mise en œuvre d'un système philosophique pour toutes les anciennes civilisations connues. Hors les Sumériens ne possèdent aucun système philosophique. Ils procèdent au cas par cas sans proposer de généralisations. Par conséquent l'intervention des Annunaki dans la société sumérienne ne peut pas se justifier que par de la poésie ».

 

@Gilles Lorant : Genre de Media amené à remplacer à terme les Nexus, Top Secret et compagnie.

 

Le gisement en termes de clicks ou de vues laisse penser que la pression financière sera moins forte qu’avec le papier (moins de frais logistiques et potentiel de lecteurs plus grand, avec une liberté plus grande de consultation par rapport aux dates de parution).

 

Donc moins de tentation à faire du sensationnel à tout prix pour attirer l’acheteur : on peut espérer une plus grande rigueur permanente du contenu… jusqu’à ce que le gisement attire les aventuriers de tout poil créant une concurrence biaisant ce raisonnement.

 

La page d’accueil présente d’autres documentaires tout aussi intéressants à mon avis : un régal pour ceux qui ont du temps, même s’il y a pas mal de redites d’une vidéo à l’autre.

 

On reste donc là dans le domaine des révélations publiques, déjà connues des passionnés : rien ou presque de très nouveau, si ce n’est une concurrence grandissante pour les associations de rencontres de ces passionnés (Ovni-Paris en étant une parmi d’autres).

 

On peut en effet constater que le nombre d’auditeurs de ces associations baisse régulièrement : le quidam curieux a maintenant une fenêtre sur le monde au bout de ses doigts en restant chez lui.

 

L’individualisme marque un point au détriment du relationnel social ; la vérité tacitement acceptée s’impose au travers de Youtube et consorts.

 

L’homme qu’a vu l’homme qu’a vu l’emprunte des géants n’a plus d’aura, de tics et traits de caractère, il est « connu » virtuellement par mise en scène interposée.

 

C’est un spectacle, mais pas en live, seulement un message rendu professionnellement cohérant, lissé, sans aspérité prêtant à une quelconque critique : on croit ou on ne croit pas le tout, en bloc.

 

Cette information là tend à diviser le monde en deux sans la demie mesure qui s’appuierait sur le ressenti subjectif d’une approche physique : « Je ne connais pas mon voisin, mais je crois machin qui habite aux antipodes parce qu’il raconte de manière convaincante une histoire qui me va bien ».

 

C’est la mondialisation de l’information parfaitement formatée. On ne peut hélas pas faire de la recherche uniquement avec çà.

 

Voilà mon point de vue sur le support de l’approche.

 

Des géants, on sait qu’il y en a eu, il y a assez de traces reconnues officiellement pour l’admettre, même si la communauté scientifique est gênée d’en parler ouvertement.

 

La question d’un ufologue serait plutôt, à mon avis :   « Y en a t-il encore et sont-ils le résultat d’une évolution naturelle ou non ? »

 

Dans le cas d’une évolution naturelle, les géants auraient des ancêtres dont on devrait aussi retrouver les traces. Il semble que ce soit le cas puisque des traces à priori (toutes les hypothèses doivent être passées au crible) contemporaines des dinosaures ont été moulées. Là, on parle de dizaines de millions d’années !

 

Dans ce cas, une telle résistance aux changements laisse penser qu’il pourrait y en avoir encore en petits groupes (assez pour se reproduire sans trop de consanguinité), cachés on ne sait où. La question pourrait renvoyer aux « Big Foot » et autres Yeti ou géants des îles perdues du Pacifique (je pense particulièrement aux Iles Salomon).

 

Cerise sur le gâteau : statistiquement, les observations d’Ovnis sont plus nombreuses dans les zones où il y a des observations de géants poilus, souvent proches de grandes failles géologiques…

 

VI - Suite : Crânes de Caracas (La Gazette n°27)

 

@Gilles Lorant :

 

Deux remarques :

 

- Des recherches officielles, budgétées par l’ESA, ont montré qu’une structure osseuse n’est pas apte à se développer correctement sans pesanteur, qui plus est sous de fortes accélérations.

 

- Les cavités des yeux sont identiques à celles qui se développeraient naturellement dans une forte pénombre (mais pas le noir complet : plus d’yeux du tout).

 

S’il s’agit de crânes extraterrestres, on peut donc à priori en conclure que :

 

- Ils ont un métabolisme au moins en partie fondé sur le carbone, avec un endosquelette développé à partir de pièces embryonnaires cartilagineuses… comme l’homme,

 

- Ils possèdent donc un bagage génétique de croissance et ont besoin d’une atmosphère gazeuse,

 

- Ils ne vivent pas à bord de « soucoupes volantes » (fortes accélérations incompatibles),

 

- Ils sont historiquement issus de zones très faiblement éclairées.    

 

Bref, on pourrait être cousins et ils pourraient avoir élu domicile… sous terre.

 

@Jean Claude Venturini :

 

Il a fort à parier que si les soucoupes maîtrisent la gravité elles peuvent protéger les occupants des fortes accélérations.

 

Cela a toujours été avancé par les chercheurs.

 

C'est difficile de tirer des conséquences de certains hauts niveaux technologiques.

 

@Gilles Lorant : Cela va peut-être te paraître bizarre de ma part, Jean Claude, mais j’avais oublié ce que tu me rappelles très justement.

 

Que veux tu, je vieillis… et n’ai pas à me préoccuper de tout ce « bastringue » lors de mes escapades mentales, çà marche tout seul… enfin presque.

 

Mais, dans cet état là, j’éprouve de l’empathie pour ces petits êtres, tellement ils sont fragiles et… proches de nous. Parce que nous autres leur en faisant voir de toutes les couleurs aussi, les pauvres.

 

Au fait, Jean Claude,

 

A propos de maltraitance, il n’y a pas que les p’tis gris de Bourgogne et d’ailleurs qui sont concernés de manière cachée.

 

L’article ci-dessous montre un aspect négatif des dessous de la mondialisation et ce n’est pas facile d’y remédier au travers de la législation locale (sous continent indien et Afrique du Sud en l’occurrence) :

 

http://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/voyage/les-attractions-touristiques-%c3%a0-ne-jamais-faire/ar-BBr6mkX?li=BBoJvSH&ocid=UE07DHP

 

Comment pourrions nous faire partie d’une confraternité cosmique très évoluée (sous entendu mentalement également) dans ces conditions ?

 

Quand j’entendais parler de dizaines de milliers d’années d’avance sur nous auparavant, j’étais interrogateur.

 

Mais quand je vois où nous en sommes encore aujourd’hui, je me dis qu’il nous faudrait au moins ce temps là pour atteindre quelques-uns des idéaux formulés depuis un siècle.

 

Alors, oui, tu as raison, il est assez vain d’analyser les anecdotes liées à certains niveaux technologiques avec notre culture actuelle ; il faut archiver pour les générations futures. Parce que je persiste à croire dans le devenir de l’humanité, son épopée, pas toujours glorieuse, force quand même l’admiration. Au point que je suis quelque fois, partagé entre le relativisme de notre place dans l’univers et une vision quelque peu anthropocentrique :

 

« L’histoire de l’homme a commencé quand il a inventé les Dieux, elle finira quand ils deviendront des Dieux »

 

Yuval Noah Harari « Sapiens, une brève histoire de l’humanité » (500 pages tout de même J) chez Albin Michel.

 

@Jean Claude Venturini : Oui Gilles, Il est fort à parier que les ETs craignent d'être obligés de faire une course aux prochains JO avec nous sur leur dos.

@Gilles Lorant :

« Nous ou… » (Désolé mais la suite de cette conversation est plutôt d’ordre privé et ne peut pas être publiée. GC)

 

VII - Les énormes sphères…

 

@Gérard Deforge : Un mystère de plus.....

 

http://documystere.com/histoires-legendes/une-enorme-sphere-decouverte-en-bosnie/

 

(Nous en avons déjà parlé, voir La Gazette n°25.

 

Seraient-elles là pour ‘’réparer’’ les vivants ? Les vieilles pierres n’auraient d’intérêt que pour ce qu’elles racontent en tant que témoins, ou par ce que nous leur racontons. Ces pierres qui ont des choses à nous apprendre et qui d’ailleurs ne sont pas toujours aussi vieilles que cela, à mettre dans la même besace que les alignements de Karnak ou les granites du Sidobre. Racontent-elles le rapport qu’elles ont eu avec l’homme dans les phases de transformations de la matière au cours des siècles et sont-elles là où elles se trouvent, parfois étonnamment en formes ‘’bizarres’’ pour raconter non seulement notre histoire en même temps que celle de l’Univers, sacrées épopées !

 

Personnellement je suis à l’écoute de mes granites et murmure aussi à leurs oreilles mes réflexions et mes secrets ; menhirs de druide du néolithique ‘’moderne’’ que je suis en même temps que barde… peut être ? GC)

 

 

VIII - Dernière nouvelle…

 

@Paris Match :

 

« Les chercheurs internationaux analyseront les données du futur télescope ‘’Large Synoptic Survey Télescope’’ (LSST) qui va entreprendre le plus grand catalogue céleste jamais réalisé. Avec ses 8,40 mètres de diamètre, il permettra de montrer les moindres métamorphoses de l’Univers en temps réel. En dix ans, ce bijou de technologie actuelle aura déterminé la dynamique de 10 milliards de galaxies. Il sera ainsi en mesure d’apporter un nouvel éclairage sur la part sombre de l’Univers, et surtout l’énergie noire, responsable de son expansion dont on ne sait toujours rien.

 

C’est la combinaison de trois grands miroirs de courbure différente fondus dans des blocs de verre équivalents à 22 tonnes après six années de polissage et d’un grand champ de vision. En revenant de nombreuses fois sur les mêmes points avec des filtres différents, il pourra soustraire les données à effet de l’atmosphère qui est un frein aux infrarouges avec une rapidité prometteuse : 2 millions d’évènements archivés chaque nuit ! (Article de Caroline Audibert de PM) »

 

 

 

 


 

 

 

Commentaires (1)

Coat
  • 1. Coat | 22/09/2016
Ceci sera le dernier numéro de la Gazette de l'Ufo comme LDLN.

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Date de dernière mise à jour : 11/11/2016