N° 33 - La reprise de LDLN - jeudi 10 Novembre 2016
1976 – Publication relique de LDLN par Raymond Veillith et Fernand Lagarde
La Gazette de l’Ufo
La reprise de LDLN
Numéro 33 du jeudi 10 Novembre 2016
Gwion Coat ar Roc’h
I – Or donc ces derniers jours… deux évènements majeurs :
La connaissance passe par la possession et en Ufologie, c’est comme si on poussait une porte invisible pour aller voir ce qu’il y a derrière sans pouvoir rien y voir ni posséder
- Le 3 novembre 2016, l’information tombe, venue de Michel Turco. La revue LDLN va être relancée avec une petite différence dans le titre (Lumières Diurnes Lumières Nocturnes) par Monsieur Jean-Louis Lagneau qui a le soutien de Joël Mesnard pour la relance de la revue. C’est donc Jean Louis qui va évoluer ‘’à poil au dessus d’un champ, de cactus’’ dans un changement de pente et de rupture d’évolution.
Malheureux ceux qui en ont fait les frais et qui en ont payé le prix en consistant à fermer ‘’les hauts fourneaux’’ de l’industrie Ufo, production d’enquêtes, d’informations et d’échanges par l’abandon des abonnés et l’action d’agitateurs publics numérotés de 1 à l’infini de la bêtise !
Lumières Dans La Nuit, créée en 1958 semblait ressembler à l’Atlantide engloutie après 58 années d’existence en tant que pilier essentiel le plus ancien de l’Ufo.
On se demandait : « … mais vers où allons nous ? ». La réponse est toute simple : « … nous pourrons le dire… quand nous serons arrivé ! », puisque nous n’en savions rien !
La décision de reprise avait l’air de ne pas bouger mais en réalité, elle cheminait tout doucement. Nous n’avions pas besoin de faire parler pour faire du bruit puisque le mouvement vers la reprise se faisait tout seul, en silence et tant mieux. Il valait mieux tenter de comprendre les difficultés de reprise, qu’elle était l’équation à résoudre et propre à chacun en les projets personnels, attitude séduisante pleine d’épines avec pourtant des moyens quand le petit monde de l’Ufologie avait collectivement consenti à la banalisation et à l’affaiblissement du ‘’métier’’ d’informateur ; ou peut être, il n’avait pas opposé assez de résistance avec suffisamment de conviction. Il est vrai peu soutenu, privilégiant le confort à l’exigence pédagogique, choisissant trop bien souvent le repli et l’abandon en l’absence d’intérêt et de confiance.
- Ouaiiihhh... touchdown Jean Louis… belle prise de balle !
Le mal : fanatisme idolâtre en échanges d’arguments versus, débordement des instincts envers et contre tout pour ramer à contre courant portant au paroxysme d’absurdités ce qui porte à présumer de l’amitié civique dans un pseudo intellectualisme hexagonal.
Il était temps de reprendre les couleurs, valeur de liberté et d’héritage à l’échelle des Anciens, Fernand Lagarde et Raymond Veillith et leurs ‘’sujets connexes’’ (à l’époque on ne parlait pas d’Ovni) et leur dévouée secrétaire Madame Gueudelot sans oublier les autres qui avaient tracé et entretenu le chemin qu’il fallait réempierrer mais surtout pas goudronner ou bétonner pour aller vers le pseudo professionnalisme d’Etat ou privé et avant que ceci devienne un produit de spéculation boursière ou commerciale après celles intellectuelles d’hémicycle et de cerveaux tordus.
(LDLN - Jean-Louis Lagneau - 06-15-92-06-60 – ldlnufologie@gmail.com)
- Le 8 novembre 2016, Gérard Deforge dit ‘’Gé’’ a donné des signes forts avec ses intervenants, ces signes forts qui disent la place essentielle du ’’maître’’ dont il a eu la profession, qui obstinément a tenu à rappeler que l’information directe transmet notre patrimoine ufologique contre une passivité intellectuelle. Il s’est investi à la séance d’Ovni Paris à la Défense, dans un exercice d’enseignement mais aussi dans une mission de passation de savoir et de formation d’esprit qui mérite une valorisation sortant du milieu ghettoïsé indifférent au verbe Ufo, milieu inaudible pour nous ses ‘’Amis Mousquetaires de l’Ufo’’, ghetto prisonnier dans ses modes et assertions insensées de pensées unique.
En enseignement, la transmission n’est pas qu’intellectuelle. Elle doit être aussi affective, sans mots fades mais passionnés en identité réfléchie, contre la poursuite de chimères, effets de rémanences rétiniennes, insociable sociabilité conflictuelle, mots, anormalement liés ensemble, pour vivre séparément un antagonisme marqué par la dissension, manque de discipline ralentissant le progrès vers la connaissance quand dans la Nature, tout a un but.
Gérard Deforge, les intervenants Marc, Pauline et Charles et Guy Loterre
‘’Gé’’, c’est son surnom, donc, est en soi un programme ufologique à lui seul, qui fait saliver comme un plat sans prétention mais qui égaye les papilles des connaissances de concepts bistrotiers de la bonne bouffe Ufo. Il a la flamme en soi loin des opinions toutes faites où le bon usage de la démocratie est d’abord affaire d’obéissants à des plans machiavéliques de fariboles universalistes de ‘’debunking’’. Sursautant à la décadence et au chaos, c’est une sorte de Forêt de Brocéliande, ‘’terra incognita’’ qu’il explore méticuleusement pour transmettre avec passion ce qui a été gravé dans la roche du savoir, lui même étant petit étant certainement tombé dedans une coulée de laves granitiques qui l’a rendu aussi fort en thèmes Ufo. (GC)
Ovni Paris le 8 novembre 2016
II – Suite à enquêtes sur des phénomènes divers de… boules
1 - Phénomène bizarre, aérien et vert
Le samedi 10 novembre 2012 après midi je me rend au domicile de Georges Metz afin d’échanger nos nouvelles en ce qui concerne nos enquêtes et études concernant les ‘’phénomènes bizarres’’ aériens ou pas, par ailleurs, tout comme à notre habitude de rencontres chez lui ou en autres endroits avec nos amis de l’Ufo régionale.
A mon arrivée, il m’annonce de suite qu’il attend la visite d’une dame qui lui a demandé par téléphone le matin même de lui rendre visite l’après midi de ce jour. Je suis impatient de l’attendre avec lui car elle doit nous parler d’une affaire qui devrait avoir beaucoup d’intérêt pour nous, enquêteurs.
Ce jour de ce samedi 10 novembre 2012, ni Georges, ni moi ne connaissons Madame Odette L. Nous ne l’avons jamais vue et pour moi sa rencontre est purement due au hasard… mais le synchronisme de cette coïncidence seraient-il guidé par le hasard ? Le matin du jour de ma visite chez Georges, elle lui a donc téléphoné pour une entrevue suite à la lecture de son livre ‘’Ovnis en France’’ ce qui l’a interpellé à la lecture d‘un chapitre ; c’est pourquoi elle a décidé de se déplacer pour informer Georges avec une histoire de boule lumineuse et une petite boule de composition minérale blanche qui serait identique à celle que je possède, tombée sur mes pieds et venant de je sais où, depuis mon aventure du cimetière de Pantin relatée dans ‘’Les boules de l’Aveyron’’. Elle affirmerait que celle qu’elle détient ressemblerait aussi à celles de Charles P. qui en a trouvé une trentaine dans son jardin de Saint Valérie sur Somme lorsqu’il avait un jour tondu ses pelouses ! Cette boule aurait été trouvé ‘’par hasard’’ dans un champ en se promenant après l’aventure de sa fille relaté ci-dessous mais elle ne se souvient plus très bien comment.
Suite aux présentations de bon usage, avec sa permission, j’essaie d’enregistrer avec le petit matériel que je possède et regrette de ne pas avoir apporté ma caméra, outil d’enregistrement plus fiable, car à bout de batterie, ceci n’a pas duré longtemps :
Mme O.L – J’ai expliqué par téléphone à Monsieur Joël Mesnard que ma fille récemment… je ne sais pas où elle allait, elle était en voiture et donc… sur le côté, le volant là… sur le côté gauche de sa voiture, il y avait une boule qui se déplaçait en ligne droite, soit horizontalement, soit verticalement, et était verte. Alors il m’a dit, Monsieur Joël Mesnard, demandez lui le plus de renseignements possibles, notez-les et vous m’en ferez part.
(Suite à plus d’informations, une boule lumineuse de couleur verte avait eu l’idée de suivre la voiture en hauteur et à gauche du véhicule à une distance et hauteur indéterminées mais semblant proche et avait l’apparence genre balle de tennis vue de loin)
Suite à une question inaudible :
GC – Il aurait fallu examiner sur son corps si elle portait des traces…
Mme O .L – Elle ne s’est pas arrêtée… elle ne s’est pas arrêtée avec la voiture…
(En vérité, elle était effrayée)
GC – …a-t-elle eu l’impression qu’elle avait perdu du temps ? Elle est partie de où… elle allait où… et son temps de trajet a duré combien de temps ?
Mm O.L – Je ne pourrais pas vous dire… elle était dans la Saône et Loire et je ne sais pas vers où elle allait ni d’où elle venait. Elle était en train de rouler… c’était vers deux heures du matin, la nuit était bien avancée et cette boule se maintenait sur le côté de la voiture… comme je vous dis, elle décrivait des trucs carrés comme ça… soit comme ça… soit comme ça… soit elle remontait… elle suivait la voiture et ma fille ne s’est pas arrêtée. Elle a continué de rouler.
GC – Elle est partie à un temps donné mais à quelle heure est-elle arrivée. Combien de temps a-t-elle mis ?
Mme O.L – Je vais lui poser toutes ces questions…
Nous ne pouvons donc aller plus loin et passons à l’examen de la petite boule blanche qui effectivement ressemble à la mienne en ce qui concerne sa forme, son évolution sur une surface plane mais son aspect est une peu différent. Les deux boules roulent curieusement de droite à gauche sans vouloir s’arrêter sans obstacle comme un ‘’personnage ivre ‘’.
A partir de la gauche boule de type Charles P., GC et Mme O.L